[article] Titre : | Heureux pour combien de temps ? : Comment le capital social et la croissance économique influencent le bien-être subjectif | Type de document : | document électronique | Auteurs : | Stefano Bartolini, Auteur ; Francesco Sarracino, Auteur | Année de publication : | 2017 | Article en page(s) : | p. 38-58 | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français | Mots-clés : | capital social croissance paradoxe d’Easterlin court-terme long-terme | Résumé : | Quels sont les éléments qui permettent de prédire l’évolution du bien-être subjectif ? Dans cet article, nous mettons en lien les évolutions du bien-être subjectif avec celles du capital social et du PIB. Nous montrons qu’à moyen ainsi qu’à long terme, le capital social est un bon prédicteur du bien-être subjectif. À court terme, cette corrélation est moins évidente, les variations du capital social ne permettent de prédire qu’une faible partie de celles du bien-être subjectif. Le PIB suit le mouvement inverse, confirmant ainsi le paradoxe d’Easterlin : le PIB est corrélé de façon plus forte au bien-être à court terme qu’à moyen terme, tandis qu’à long terme cette corrélation disparaît. | En ligne : | https://sciencesetbonheur.files.wordpress.com/2017/09/setb_2_ete2017.pdf | Format de la ressource électronique : | Numéro intégral | in Sciences & Bonheur > N° 02 (09/2017) . - p. 38-58
[article] Heureux pour combien de temps ? : Comment le capital social et la croissance économique influencent le bien-être subjectif [document électronique] / Stefano Bartolini, Auteur ; Francesco Sarracino, Auteur . - 2017 . - p. 38-58. Bibliogr. Langues : Français in Sciences & Bonheur > N° 02 (09/2017) . - p. 38-58 Mots-clés : | capital social croissance paradoxe d’Easterlin court-terme long-terme | Résumé : | Quels sont les éléments qui permettent de prédire l’évolution du bien-être subjectif ? Dans cet article, nous mettons en lien les évolutions du bien-être subjectif avec celles du capital social et du PIB. Nous montrons qu’à moyen ainsi qu’à long terme, le capital social est un bon prédicteur du bien-être subjectif. À court terme, cette corrélation est moins évidente, les variations du capital social ne permettent de prédire qu’une faible partie de celles du bien-être subjectif. Le PIB suit le mouvement inverse, confirmant ainsi le paradoxe d’Easterlin : le PIB est corrélé de façon plus forte au bien-être à court terme qu’à moyen terme, tandis qu’à long terme cette corrélation disparaît. | En ligne : | https://sciencesetbonheur.files.wordpress.com/2017/09/setb_2_ete2017.pdf | Format de la ressource électronique : | Numéro intégral |
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