[article] Titre : | Hyper-réactivité chimiosensorielle et alimentation des personnes avec un polyhandicap | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Catherine Senez, Auteur | Année de publication : | 2011 | Article en page(s) : | p. 346-354 | Note générale : | Bibliogr., Annexe. | Langues : | Français | Mots-clés : | alimentation handicap hyper-réactivité alimentaire polyhandicap réinvestissement de l’alimentation orale | Résumé : | Le repas d’un enfant avec un polyhandicap dépendant est obligatoirement interactif et l’hyper-réactivité sensorielle de cet enfant peut perturber le repas. Les gestes, la voix, l’odeur des aliments, le parfum de l’accompagnant peuvent aller dans le sens d’un apaisement permettant au repas de bien se dérouler ou inversement. On présente aussi dans cette étude : la perception sensorielle des aliments par les enfants qui en ont été privés ; les principales manières pour faciliter le réinvestissement de l’oralité alimentaire chez l’enfant gravement handicapé. | in La Nouvelle revue de l'adaptation et de la scolarisation > 55 (11/2011) . - p. 346-354
[article] Hyper-réactivité chimiosensorielle et alimentation des personnes avec un polyhandicap [texte imprimé] / Catherine Senez, Auteur . - 2011 . - p. 346-354. Bibliogr., Annexe. Langues : Français in La Nouvelle revue de l'adaptation et de la scolarisation > 55 (11/2011) . - p. 346-354 Mots-clés : | alimentation handicap hyper-réactivité alimentaire polyhandicap réinvestissement de l’alimentation orale | Résumé : | Le repas d’un enfant avec un polyhandicap dépendant est obligatoirement interactif et l’hyper-réactivité sensorielle de cet enfant peut perturber le repas. Les gestes, la voix, l’odeur des aliments, le parfum de l’accompagnant peuvent aller dans le sens d’un apaisement permettant au repas de bien se dérouler ou inversement. On présente aussi dans cette étude : la perception sensorielle des aliments par les enfants qui en ont été privés ; les principales manières pour faciliter le réinvestissement de l’oralité alimentaire chez l’enfant gravement handicapé. |
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