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Thérapie familiale chez les mineurs isolés étrangers... une impossibilité, un paradoxe, une solution ? / Pierre Duterte in Psychologie & Education (Dourdan), 2013-02 (06/2013)
[article]
Titre : Thérapie familiale chez les mineurs isolés étrangers... une impossibilité, un paradoxe, une solution ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Duterte, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 31-46 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : exil traumatisme mineur isolé étranger thérapie familiale enfant soldat Résumé : Les Mineurs Isolés Étrangers (MIE), peuvent paraître, du fait de leur statut d'isolé, comme peu qualifiés pour une thérapie familiale. Ils ont eu le plus souvent, avant de se retrouver seuls en France et, malgré leur jeune âge, vu périr leur famille, ils ont pour la plupart été victimes d'insoutenables violences, ils ont parfois été amenés à faire la guerre à 7, 10 ou 15 ans. Même si parfois ces mineurs sont missionnés par leur famille pour "venir" travailler en France, il est impossible d'imaginer qu'ils puissent vivre cet "exil" comme un voyage, comme un séjour !
in Psychologie & Education (Dourdan) > 2013-02 (06/2013) . - p. 31-46[article] Thérapie familiale chez les mineurs isolés étrangers... une impossibilité, un paradoxe, une solution ? [texte imprimé] / Pierre Duterte, Auteur . - 2013 . - p. 31-46.
Bibliogr.
Langues : Français
in Psychologie & Education (Dourdan) > 2013-02 (06/2013) . - p. 31-46
Mots-clés : exil traumatisme mineur isolé étranger thérapie familiale enfant soldat Résumé : Les Mineurs Isolés Étrangers (MIE), peuvent paraître, du fait de leur statut d'isolé, comme peu qualifiés pour une thérapie familiale. Ils ont eu le plus souvent, avant de se retrouver seuls en France et, malgré leur jeune âge, vu périr leur famille, ils ont pour la plupart été victimes d'insoutenables violences, ils ont parfois été amenés à faire la guerre à 7, 10 ou 15 ans. Même si parfois ces mineurs sont missionnés par leur famille pour "venir" travailler en France, il est impossible d'imaginer qu'ils puissent vivre cet "exil" comme un voyage, comme un séjour !