[article] Titre : | Quand les adolescents ont peur : Peurs phobiques à l’adolescence | Type de document : | document électronique | Auteurs : | Pablo Votadoro, Auteur ; Marie-Aude Piot, Auteur | Année de publication : | 2015 | Article en page(s) : | p. 57-70 | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français | Mots-clés : | phobie adolescence représentation angoisse | Résumé : | La phobie à l’adolescence apparaît tantôt anecdotique, tantôt bruyante. Dans le premier cas, elle est négligée, dans le deuxième, elle passe au second plan par rapport à celui de ses effets, du handicap qu’elle représente. Cet escamotage rejoindrait celui de la difficulté à penser l’angoisse quand elle fait peur. Si bien que reprendre la notion de phobie à partir d’une expérience clinique doit poser les repères qui permettent de la penser. À partir de là, considérée comme résultant des transformations, l’angoisse apparaît incontournable pendant la période pubertaire. C’est en considérant le rapport entre les digues de la pensée et celle de la crue pulsionnelle que la phobie prend son sens. Réservoir de ce débord, la phobie apparaît comme moyen de soutenir la structure, que ce soit dans la décharge des forces en présence ou bien dans le renforcement psychique des digues de pensée. C’est en tant qu’expérience mise en scène par le symptôme qu’elle peut alors se penser. | En ligne : | https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2015-1-page-57.htm | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Enfances et psy > 65 (01/2015) . - p. 57-70
[article] Quand les adolescents ont peur : Peurs phobiques à l’adolescence [document électronique] / Pablo Votadoro, Auteur ; Marie-Aude Piot, Auteur . - 2015 . - p. 57-70. Bibliogr. Langues : Français in Enfances et psy > 65 (01/2015) . - p. 57-70 Mots-clés : | phobie adolescence représentation angoisse | Résumé : | La phobie à l’adolescence apparaît tantôt anecdotique, tantôt bruyante. Dans le premier cas, elle est négligée, dans le deuxième, elle passe au second plan par rapport à celui de ses effets, du handicap qu’elle représente. Cet escamotage rejoindrait celui de la difficulté à penser l’angoisse quand elle fait peur. Si bien que reprendre la notion de phobie à partir d’une expérience clinique doit poser les repères qui permettent de la penser. À partir de là, considérée comme résultant des transformations, l’angoisse apparaît incontournable pendant la période pubertaire. C’est en considérant le rapport entre les digues de la pensée et celle de la crue pulsionnelle que la phobie prend son sens. Réservoir de ce débord, la phobie apparaît comme moyen de soutenir la structure, que ce soit dans la décharge des forces en présence ou bien dans le renforcement psychique des digues de pensée. C’est en tant qu’expérience mise en scène par le symptôme qu’elle peut alors se penser. | En ligne : | https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2015-1-page-57.htm | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
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