[article] Titre : | Savoir et Éthique pour "sauver sa propre peau" | Type de document : | document électronique | Auteurs : | Maria da Conceição Silva Soares, Auteur | Année de publication : | 2011 | Article en page(s) : | p. 72-84 | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français | Mots-clés : | recherche dans/sur/avec les quotidiens récit du vécu invention du présent | Résumé : | Ce texte défend que les recherches dans/sur/avec le quotidien scolaire impliquent des décisions épistémologiques et politiques, constituent un mouvement anti-disciplinant des savoir-faire et caractérisent une attitude en faveur de la pensée élargie et de la vie active. À partir d’une provocation de Ferry (2007), "on philosophe pour sauver sa peau", le texte défend l’existence d’une relation intrinsèque entre production de connaissances, négociation de postures éthiques et attribution de significations à l’existence humaine. Il situe la production scientifique parmi les pratiques sociales et propose que les manières de faire de la science s’inscrivent dans des territoires mouvants au sein desquels les solidarités et les luttes organisent les espaces-temps qui constituent les lieux du savoir/pouvoir. Les récits du quotidien seront ici considérés comme des possibilités de création d’un type de savoir nous amenant à défendre que seul ce qui est tissé conjointement peut sauver notre peau. | En ligne : | http://cirnef.normandie-univ.fr/wp-content/uploads/2020/02/82719ok.pdf | Format de la ressource électronique : | Numéro intégral | in Penser l'éducation > N° 30. 2011/2 (12/2011) . - p. 72-84
[article] Savoir et Éthique pour "sauver sa propre peau" [document électronique] / Maria da Conceição Silva Soares, Auteur . - 2011 . - p. 72-84. Bibliogr. Langues : Français in Penser l'éducation > N° 30. 2011/2 (12/2011) . - p. 72-84 Mots-clés : | recherche dans/sur/avec les quotidiens récit du vécu invention du présent | Résumé : | Ce texte défend que les recherches dans/sur/avec le quotidien scolaire impliquent des décisions épistémologiques et politiques, constituent un mouvement anti-disciplinant des savoir-faire et caractérisent une attitude en faveur de la pensée élargie et de la vie active. À partir d’une provocation de Ferry (2007), "on philosophe pour sauver sa peau", le texte défend l’existence d’une relation intrinsèque entre production de connaissances, négociation de postures éthiques et attribution de significations à l’existence humaine. Il situe la production scientifique parmi les pratiques sociales et propose que les manières de faire de la science s’inscrivent dans des territoires mouvants au sein desquels les solidarités et les luttes organisent les espaces-temps qui constituent les lieux du savoir/pouvoir. Les récits du quotidien seront ici considérés comme des possibilités de création d’un type de savoir nous amenant à défendre que seul ce qui est tissé conjointement peut sauver notre peau. | En ligne : | http://cirnef.normandie-univ.fr/wp-content/uploads/2020/02/82719ok.pdf | Format de la ressource électronique : | Numéro intégral |
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