[article] Titre : | Entre passif et anticausatif : étude des formes itCaCaC en arabe du Caire | Type de document : | document électronique | Auteurs : | Julie Haslé, Auteur | Année de publication : | 2021 | Note générale : | Bibliogr., Annexe | Langues : | Français | Mots-clés : | passif anticausatif morphosyntaxe diathèse arabe du Caire | Résumé : | Cette étude s’intéresse aux interprétations reçues par les verbes de forme t‑I en arabe du Caire, les interprétations passive et anticausative. Dans un premier temps, nous constatons d’une part que les verbes de forme t‑I caractérisés par une transitivité inhérente ne reçoivent qu’une interprétation passive. D’autre part, la forme t‑I n’existe pas lorsque la base de dérivation I est soit intransitive, soit ditransitive. L’interprétation passive est alors prise en charge respectivement par un verbe de forme t‑II ou par une construction impersonnelle de la base de dérivation I. Lorsqu’un verbe de forme t‑I peut recevoir les deux interprétations, passive et anticausative, trois critères sémantiques sont alors à prendre en compte pour appréhender cette alternance : le mode de réalisation du procès, la labilité verbale et la spontanéité du déclenchement de l’action. Enfin, la mise en rapport des verbes de forme t‑I avec la construction analytique du causatif permet de révéler les différentes interprétations qu’ils reçoivent, et les rapports qu’ils entretiennent avec les notions d’agent et de cause. | En ligne : | https://journals.openedition.org/lidil/9613 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Lidil (Grenoble) > 64 (11/2021)
[article] Entre passif et anticausatif : étude des formes itCaCaC en arabe du Caire [document électronique] / Julie Haslé, Auteur . - 2021. Bibliogr., Annexe Langues : Français in Lidil (Grenoble) > 64 (11/2021) Mots-clés : | passif anticausatif morphosyntaxe diathèse arabe du Caire | Résumé : | Cette étude s’intéresse aux interprétations reçues par les verbes de forme t‑I en arabe du Caire, les interprétations passive et anticausative. Dans un premier temps, nous constatons d’une part que les verbes de forme t‑I caractérisés par une transitivité inhérente ne reçoivent qu’une interprétation passive. D’autre part, la forme t‑I n’existe pas lorsque la base de dérivation I est soit intransitive, soit ditransitive. L’interprétation passive est alors prise en charge respectivement par un verbe de forme t‑II ou par une construction impersonnelle de la base de dérivation I. Lorsqu’un verbe de forme t‑I peut recevoir les deux interprétations, passive et anticausative, trois critères sémantiques sont alors à prendre en compte pour appréhender cette alternance : le mode de réalisation du procès, la labilité verbale et la spontanéité du déclenchement de l’action. Enfin, la mise en rapport des verbes de forme t‑I avec la construction analytique du causatif permet de révéler les différentes interprétations qu’ils reçoivent, et les rapports qu’ils entretiennent avec les notions d’agent et de cause. | En ligne : | https://journals.openedition.org/lidil/9613 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
|