[article] Titre : | Pour une éthique de la grammaire ou quand l’exception infirme la règle | Type de document : | document électronique | Auteurs : | Marc Wilmet, Auteur | Année de publication : | 2016 | Langues : | Français | Mots-clés : | exception exclusion conditionnel subjonctif thème et rhème article partitif | Résumé : | Les notions d’exception et d’exclusion sont voisines. Plus exactement, la seconde découle de la première (dans une phrase comme Pierre n’aime que Marie, l’exception amoureuse que Pierre consent en faveur d’une personne se double de l’exclusion de toutes les autres). Après avoir examiné le mécanisme de la négation exceptive ne… que, le présent article envisage quelques problèmes connexes et suggère de nouvelles pistes de recherche. La sous-phrase n’était = "s’il n’y avait" fournit à ce stade l’occasion de réinterroger les motifs pour lesquels la forme en –rait est normativement interdite derrière un si hypothétique et, par contrecoup, de légitimer certaines transgressions. Du particulier au général, c’est une éthique de la discipline grammaticale, faite de souplesse pratique et de rigueur théorique, qui est défendue. | En ligne : | http://journals.openedition.org/pratiques/2616 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Pratiques (Metz) > 167-168 (2016)
[article] Pour une éthique de la grammaire ou quand l’exception infirme la règle [document électronique] / Marc Wilmet, Auteur . - 2016. Langues : Français in Pratiques (Metz) > 167-168 (2016) Mots-clés : | exception exclusion conditionnel subjonctif thème et rhème article partitif | Résumé : | Les notions d’exception et d’exclusion sont voisines. Plus exactement, la seconde découle de la première (dans une phrase comme Pierre n’aime que Marie, l’exception amoureuse que Pierre consent en faveur d’une personne se double de l’exclusion de toutes les autres). Après avoir examiné le mécanisme de la négation exceptive ne… que, le présent article envisage quelques problèmes connexes et suggère de nouvelles pistes de recherche. La sous-phrase n’était = "s’il n’y avait" fournit à ce stade l’occasion de réinterroger les motifs pour lesquels la forme en –rait est normativement interdite derrière un si hypothétique et, par contrecoup, de légitimer certaines transgressions. Du particulier au général, c’est une éthique de la discipline grammaticale, faite de souplesse pratique et de rigueur théorique, qui est défendue. | En ligne : | http://journals.openedition.org/pratiques/2616 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
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