[article] Titre : | Le pouvoir disciplinaire et la forme scolaire | Type de document : | document électronique | Auteurs : | Larochelle, Marie, Auteur | Année de publication : | 2016 | Article en page(s) : | p. 111-126 | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français | Mots-clés : | relation d’apprentissage pédagogisation savoir-pouvoir cultural studies | Résumé : | Comme le montre bien Guy Vincent qui est à l’origine du concept de forme scolaire, cette forme est plus qu’un ensemble de procédures ou de traits. Elle est une organisation sociale particulière qui représente un tournant dans la politique des relations d’apprentissage en ce que la "pédagogisation" qui la caractérise comporte quelque chose de plus que ce qui est requis pour simplement apprendre à lire, écrire et compter ; quelque chose de plus qui, grâce à la liaison étroite entre cette forme, la « culture écrite », les disciplines et les dispositifs de surveillance et de quantification constante de la performance, permet d’obtenir ce que Vincent (1980, p. 24) nomme « des effets de pouvoir ». C’est ce que je tente d’illustrer dans ce texte en insistant sur le pouvoir disciplinaire. | En ligne : | https://www.cairn.info/revue-recherches-en-didactiques-2016-2-page-111.htm | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Recherches en didactiques > N° 22 (12/2016) . - p. 111-126
[article] Le pouvoir disciplinaire et la forme scolaire [document électronique] / Larochelle, Marie, Auteur . - 2016 . - p. 111-126. Bibliogr. Langues : Français in Recherches en didactiques > N° 22 (12/2016) . - p. 111-126 Mots-clés : | relation d’apprentissage pédagogisation savoir-pouvoir cultural studies | Résumé : | Comme le montre bien Guy Vincent qui est à l’origine du concept de forme scolaire, cette forme est plus qu’un ensemble de procédures ou de traits. Elle est une organisation sociale particulière qui représente un tournant dans la politique des relations d’apprentissage en ce que la "pédagogisation" qui la caractérise comporte quelque chose de plus que ce qui est requis pour simplement apprendre à lire, écrire et compter ; quelque chose de plus qui, grâce à la liaison étroite entre cette forme, la « culture écrite », les disciplines et les dispositifs de surveillance et de quantification constante de la performance, permet d’obtenir ce que Vincent (1980, p. 24) nomme « des effets de pouvoir ». C’est ce que je tente d’illustrer dans ce texte en insistant sur le pouvoir disciplinaire. | En ligne : | https://www.cairn.info/revue-recherches-en-didactiques-2016-2-page-111.htm | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
|