[article] Titre : | Trois figures de l’ennui adolescent | Type de document : | document électronique | Auteurs : | Emmanuelle Boë, Auteur | Année de publication : | 2016 | Article en page(s) : | p. 27-35 | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français | Mots-clés : | ennui adolescence temporalité phobie du fonctionnement mental trouble du penser | Résumé : | L’éprouvé d’ennui paraît indissociable de l’adolescence, et le champ scolaire est son lieu d’expression privilégié. Quelles sont les tonalités de cet ennui juvénile ? Nous proposons un modèle à trois composantes, en fonction du rapport à la temporalité et de la modalité attentionnelle prévalante. Nous nous demandons quelle valeur prend l’ennui en fonction des différents contextes psychopathologiques et de l’évolution du patient. Ces questions sont discutées au travers de situations cliniques rencontrées au Relais étudiants-lycéens de Paris, où la consultation, par sa configuration particulière incluant la participation d’un enseignant, permet d’observer de manière privilégiée le lien à la scolarité et le rapport au savoir. De l’évitement de pensée à la phobie du fonctionnement mental, notre exploration clinique des déterminants de l’ennui juvénile parcourt différentes variantes du trouble de penser. | En ligne : | https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2016-2-page-27.htm | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Enfances et psy > 70 (09/2016) . - p. 27-35
[article] Trois figures de l’ennui adolescent [document électronique] / Emmanuelle Boë, Auteur . - 2016 . - p. 27-35. Bibliogr. Langues : Français in Enfances et psy > 70 (09/2016) . - p. 27-35 Mots-clés : | ennui adolescence temporalité phobie du fonctionnement mental trouble du penser | Résumé : | L’éprouvé d’ennui paraît indissociable de l’adolescence, et le champ scolaire est son lieu d’expression privilégié. Quelles sont les tonalités de cet ennui juvénile ? Nous proposons un modèle à trois composantes, en fonction du rapport à la temporalité et de la modalité attentionnelle prévalante. Nous nous demandons quelle valeur prend l’ennui en fonction des différents contextes psychopathologiques et de l’évolution du patient. Ces questions sont discutées au travers de situations cliniques rencontrées au Relais étudiants-lycéens de Paris, où la consultation, par sa configuration particulière incluant la participation d’un enseignant, permet d’observer de manière privilégiée le lien à la scolarité et le rapport au savoir. De l’évitement de pensée à la phobie du fonctionnement mental, notre exploration clinique des déterminants de l’ennui juvénile parcourt différentes variantes du trouble de penser. | En ligne : | https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2016-2-page-27.htm | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
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