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Auteur Marine de Maximy |
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Les auteurs de crimes monstrueux sont-ils des monstres ? / Marine de Maximy in Enfances et psy, 51 (04/2011)
[article]
Titre : Les auteurs de crimes monstrueux sont-ils des monstres ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Marine de Maximy, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 111-118 Langues : Français Mots-clés : acte monstrueux procès débat public débat contradictoire circulation de la parole reconnaissance mutuelle justice reconstructice Résumé : L’effroi suscité par les actes monstrueux occulte toute réflexion. Le procès en cour d’assises, entièrement oral et contradictoire, permet d’éclairer l’acte, dont les circonstances et motivations deviennent alors plus complexes. La circulation de la parole sur cet acte humanise son auteur qui, de ce fait, réintègre le lien social. Cet éclairage total conduit à la reconnaissance mutuelle des uns et des autres et permet d’instituer la justice comme reconstructrice. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2011-2-page-111.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Enfances et psy > 51 (04/2011) . - p. 111-118[article] Les auteurs de crimes monstrueux sont-ils des monstres ? [texte imprimé] / Marine de Maximy, Auteur . - 2011 . - p. 111-118.
Langues : Français
in Enfances et psy > 51 (04/2011) . - p. 111-118
Mots-clés : acte monstrueux procès débat public débat contradictoire circulation de la parole reconnaissance mutuelle justice reconstructice Résumé : L’effroi suscité par les actes monstrueux occulte toute réflexion. Le procès en cour d’assises, entièrement oral et contradictoire, permet d’éclairer l’acte, dont les circonstances et motivations deviennent alors plus complexes. La circulation de la parole sur cet acte humanise son auteur qui, de ce fait, réintègre le lien social. Cet éclairage total conduit à la reconnaissance mutuelle des uns et des autres et permet d’instituer la justice comme reconstructrice. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2011-2-page-111.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
[article]
Titre : Jusqu'où légiférer sur l'évolution de la parenté ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Boris Chaffel, Auteur ; Marine de Maximy, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 80-92 Langues : Français Mots-clés : homoparentalité adoption filiation loi Codes noirs Résumé : Jean-Pierre Winter explique sa position dans le débat actuel sur les questions que posent les nouvelles configurations familiales. Que le législateur puisse ne pas reconnaître l’intervention des tiers dans la conception biologique d’un enfant (et ainsi la spécificité de la pma et de la gpa) lorsque les futurs parents sont dans l’impossibilité de procréer lui semble très problématique – spécialement pour les couples homosexuels. Les codes noirs de l’esclavage lui permettent d’éclairer ce qu’il considère comme une violence de la loi. Non qu’il y ait un risque de folie, mais le déni du tiers et de la différence des sexes dans la procréation lui semble mettre en péril les possibilités psychiques d’assumer la filiation à venir. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2011-1-page-80.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Enfances et psy > 50 (01/2011) . - p. 80-92[article] Jusqu'où légiférer sur l'évolution de la parenté ? [texte imprimé] / Boris Chaffel, Auteur ; Marine de Maximy, Auteur . - 2011 . - p. 80-92.
Langues : Français
in Enfances et psy > 50 (01/2011) . - p. 80-92
Mots-clés : homoparentalité adoption filiation loi Codes noirs Résumé : Jean-Pierre Winter explique sa position dans le débat actuel sur les questions que posent les nouvelles configurations familiales. Que le législateur puisse ne pas reconnaître l’intervention des tiers dans la conception biologique d’un enfant (et ainsi la spécificité de la pma et de la gpa) lorsque les futurs parents sont dans l’impossibilité de procréer lui semble très problématique – spécialement pour les couples homosexuels. Les codes noirs de l’esclavage lui permettent d’éclairer ce qu’il considère comme une violence de la loi. Non qu’il y ait un risque de folie, mais le déni du tiers et de la différence des sexes dans la procréation lui semble mettre en péril les possibilités psychiques d’assumer la filiation à venir. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2011-1-page-80.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral