[article] Titre : | Faire bouger les représentations. Sens et usages d’une métaphore pédagogique | Type de document : | document électronique | Auteurs : | Jean-François Goubet, Auteur | Année de publication : | 2013 | Article en page(s) : | p. 30-37 | Langues : | Français | Mots-clés : | apprentissage de l'enfant formation des enseignants | Résumé : | « Faire bouger les représentations » est une expression assez courante dans les milieux de la formation. On en fait principalement deux usages. Le premier concerne l’enfant, notamment lorsqu’il apprend les sciences expérimentales. Le second touche le maître, qui devrait faire le deuil de certaines conceptions lorsqu’il se professionnalise. Le sens de l’expression, par ailleurs, peut être très divers. Trois acceptions sont distinguées : celle du mouvement comme
désobstruction d’un obstacle, celle du mouvement comme transformation d’une opinion en une idée correcte, celle, enfin, du mouvement comme déplacement d’un quantum d’affect misé sur une représentation. Au travers des reprises que font de Bachelard certains représentants de la didactique des sciences contemporaine d’expression française, nous essayons de comprendre exactement ce que peut bien vouloir dire, selon les contextes, « faire bouger les représentations ». | En ligne : | https://journals.openedition.org/ree/7929 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Recherches en éducation > N°17 (10/2013) . - p. 30-37
[article] Faire bouger les représentations. Sens et usages d’une métaphore pédagogique [document électronique] / Jean-François Goubet, Auteur . - 2013 . - p. 30-37. Langues : Français in Recherches en éducation > N°17 (10/2013) . - p. 30-37 Mots-clés : | apprentissage de l'enfant formation des enseignants | Résumé : | « Faire bouger les représentations » est une expression assez courante dans les milieux de la formation. On en fait principalement deux usages. Le premier concerne l’enfant, notamment lorsqu’il apprend les sciences expérimentales. Le second touche le maître, qui devrait faire le deuil de certaines conceptions lorsqu’il se professionnalise. Le sens de l’expression, par ailleurs, peut être très divers. Trois acceptions sont distinguées : celle du mouvement comme
désobstruction d’un obstacle, celle du mouvement comme transformation d’une opinion en une idée correcte, celle, enfin, du mouvement comme déplacement d’un quantum d’affect misé sur une représentation. Au travers des reprises que font de Bachelard certains représentants de la didactique des sciences contemporaine d’expression française, nous essayons de comprendre exactement ce que peut bien vouloir dire, selon les contextes, « faire bouger les représentations ». | En ligne : | https://journals.openedition.org/ree/7929 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
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