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Auteur Yves Verneuil |
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La société des agrégées, entre féminisme et esprit de catégorie (1920-1948) / Yves Verneuil in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 115-116 Spécial (09/2007)
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[article]
Titre : La société des agrégées, entre féminisme et esprit de catégorie (1920-1948) Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Verneuil, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 195-224 Langues : Français Mots-clés : agrégation femme féminisme association d’enseignants corps enseignant enseignante enseignement secondaire histoire du genre Résumé : En 1920 se forme la Société des agrégées, sur le modèle de celle des agrégés, fondée dès 1914. L’exemple masculin paraît remettre en cause le sentiment d’unité du corps enseignant féminin. En réalité, les femmes professeurs doivent continuer à s’épauler, car de nombreux professeurs masculins, en particulier parmi les agrégés, s’opposent à leurs revendications. Dans les années 1930, la Société des agrégées prend une tournure plus catégorielle, même si elle s’engage davantage dans le mouvement féministe et si ses dirigeantes sont majoritairement proches de la CGT. La fusion avec la Société masculine n’intervient cependant qu’après la Libération En ligne : http://journals.openedition.org/histoire-education/1426 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 115-116 Spécial (09/2007) . - p. 195-224[article] La société des agrégées, entre féminisme et esprit de catégorie (1920-1948) [texte imprimé] / Yves Verneuil, Auteur . - 2007 . - p. 195-224.
Langues : Français
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 115-116 Spécial (09/2007) . - p. 195-224
Mots-clés : agrégation femme féminisme association d’enseignants corps enseignant enseignante enseignement secondaire histoire du genre Résumé : En 1920 se forme la Société des agrégées, sur le modèle de celle des agrégés, fondée dès 1914. L’exemple masculin paraît remettre en cause le sentiment d’unité du corps enseignant féminin. En réalité, les femmes professeurs doivent continuer à s’épauler, car de nombreux professeurs masculins, en particulier parmi les agrégés, s’opposent à leurs revendications. Dans les années 1930, la Société des agrégées prend une tournure plus catégorielle, même si elle s’engage davantage dans le mouvement féministe et si ses dirigeantes sont majoritairement proches de la CGT. La fusion avec la Société masculine n’intervient cependant qu’après la Libération En ligne : http://journals.openedition.org/histoire-education/1426 Format de la ressource électronique : Texte intégral Varia : Politique et pédagogie. L'enseignement de la morale dans les lycées et collèges de garçons (1902-1923) / Yves Verneuil in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 149 (2018)
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[article]
Titre : Varia : Politique et pédagogie. L'enseignement de la morale dans les lycées et collèges de garçons (1902-1923) Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Verneuil, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 101-157 Langues : Français Mots-clés : enseignement secondaire laïcité morale (matière enseignée) humanités classiques Résumé : L’absence d’un enseignement de la morale dans les établissements secondaires de garçons se justifiait au XIXe siècle par la valeur morale de l’enseignement des humanités et par le programme de morale de la classe de philosophie. L’institution d’un cours de morale en 1902 dans les classes de quatrième et de troisième des lycées et collèges de garçons ne tient pas seulement au fait que la réforme de 1902 intègre dans un enseignement secondaire désormais unique l’ancien enseignement moderne dont une partie des élèves ne va pas jusqu’au bout du cursus. Il s’agit surtout, dans le contexte de regain d’anticléricalisme et de militantisme républicain qui suit l’Affaire Dreyfus, de donner une allure nettement républicaine à l’enseignement secondaire et de manifester que le discours moral n’est pas l’apanage de l’aumônier. C’est aussi le moyen de répondre aux critiques qui se sont élevées au moment de la commission Ribot (1898-1899) contre le déficit supposé des lycées en matière d’éducation morale. L’enseignement de la morale disparaît des lycées et collèges de garçons en 1923, au moment de la réforme Bérard. En ligne : https://journals.openedition.org/histoire-education/4050 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 149 (2018) . - p. 101-157[article] Varia : Politique et pédagogie. L'enseignement de la morale dans les lycées et collèges de garçons (1902-1923) [texte imprimé] / Yves Verneuil, Auteur . - 2018 . - p. 101-157.
Langues : Français
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 149 (2018) . - p. 101-157
Mots-clés : enseignement secondaire laïcité morale (matière enseignée) humanités classiques Résumé : L’absence d’un enseignement de la morale dans les établissements secondaires de garçons se justifiait au XIXe siècle par la valeur morale de l’enseignement des humanités et par le programme de morale de la classe de philosophie. L’institution d’un cours de morale en 1902 dans les classes de quatrième et de troisième des lycées et collèges de garçons ne tient pas seulement au fait que la réforme de 1902 intègre dans un enseignement secondaire désormais unique l’ancien enseignement moderne dont une partie des élèves ne va pas jusqu’au bout du cursus. Il s’agit surtout, dans le contexte de regain d’anticléricalisme et de militantisme républicain qui suit l’Affaire Dreyfus, de donner une allure nettement républicaine à l’enseignement secondaire et de manifester que le discours moral n’est pas l’apanage de l’aumônier. C’est aussi le moyen de répondre aux critiques qui se sont élevées au moment de la commission Ribot (1898-1899) contre le déficit supposé des lycées en matière d’éducation morale. L’enseignement de la morale disparaît des lycées et collèges de garçons en 1923, au moment de la réforme Bérard. En ligne : https://journals.openedition.org/histoire-education/4050 Format de la ressource électronique : Texte intégral