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Auteur Isabelle Lebrat |
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Danser le poème : une voie de création essentielle / Isabelle Lebrat in Le Français aujourd'hui, 169 (06/2010)
[article]
Titre : Danser le poème : une voie de création essentielle Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Lebrat, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 65-70 Langues : Français Mots-clés : voix poésie danse écriture création réception Résumé : Saisir la voix à l’oeuvre dans le texte est une expérience intime, une affaire sensible. Danser le poème pourrait constituer un nouveau mode d’appropriation du texte poétique. Le passage par la danse peut en effet provoquer, activer, réactiver les réactions aux effets de voix dans le texte pour pouvoir, à terme, affiner la réception esthétique, adopter une position d’auteur et de lecteur engagé dans le continu de l’oeuvre. En ligne : http://www.cairn.info/revue-le-francais-aujourd-hui-2010-2-page-65.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Le Français aujourd'hui > 169 (06/2010) . - p. 65-70[article] Danser le poème : une voie de création essentielle [texte imprimé] / Isabelle Lebrat, Auteur . - 2010 . - p. 65-70.
Langues : Français
in Le Français aujourd'hui > 169 (06/2010) . - p. 65-70
Mots-clés : voix poésie danse écriture création réception Résumé : Saisir la voix à l’oeuvre dans le texte est une expérience intime, une affaire sensible. Danser le poème pourrait constituer un nouveau mode d’appropriation du texte poétique. Le passage par la danse peut en effet provoquer, activer, réactiver les réactions aux effets de voix dans le texte pour pouvoir, à terme, affiner la réception esthétique, adopter une position d’auteur et de lecteur engagé dans le continu de l’oeuvre. En ligne : http://www.cairn.info/revue-le-francais-aujourd-hui-2010-2-page-65.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral Parole de l’imaginaire, imaginaire de la parole dans "N’oublie pas de te laver les dents" de Philippe Corentin / Isabelle Lebrat in Strenae, N° 5 (09/2013)
[article]
Titre : Parole de l’imaginaire, imaginaire de la parole dans "N’oublie pas de te laver les dents" de Philippe Corentin Type de document : document électronique Auteurs : Isabelle Lebrat, Auteur Année de publication : 2013 Langues : Français Mots-clés : narrateur conteur racontage imaginaire métafiction voix parole dialogue altérité Résumé : Alors que dans "Pipioli la terreur" (2006), Corentin dramatisait sa création, dans "N’oublie pas de te laver les dents" (2009), il dramatise l’acte de réception. Réfléchissant sur la frontière séparant le réel de la fiction, l’auteur met en scène des personnages qui deviennent lecteurs puis auteurs de leur propre histoire. En choisissant de raconter des vies, en jouant des points de vue, en multipliant les voix, la littérature de jeunesse peut devenir un formidable lieu d’expérimentation. C’est la matière même des voix mises en scène dans l’album, leur tessiture ou leur vibration qui donne à entendre quelque chose de l’expérience intérieure. Dans "N’oublie pas de te laver les dents" Corentin abandonne sa voix de conteur pour une exploration stéréophonique de l’existence. L’auteur devient metteur en voix : il fait entendre le ton qui accompagne la parole, secret d’une diction, geste imperceptible, légère accentuation, signifiance oblique. En ligne : http://journals.openedition.org/strenae/982 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Strenae > N° 5 (09/2013)[article] Parole de l’imaginaire, imaginaire de la parole dans "N’oublie pas de te laver les dents" de Philippe Corentin [document électronique] / Isabelle Lebrat, Auteur . - 2013.
Langues : Français
in Strenae > N° 5 (09/2013)
Mots-clés : narrateur conteur racontage imaginaire métafiction voix parole dialogue altérité Résumé : Alors que dans "Pipioli la terreur" (2006), Corentin dramatisait sa création, dans "N’oublie pas de te laver les dents" (2009), il dramatise l’acte de réception. Réfléchissant sur la frontière séparant le réel de la fiction, l’auteur met en scène des personnages qui deviennent lecteurs puis auteurs de leur propre histoire. En choisissant de raconter des vies, en jouant des points de vue, en multipliant les voix, la littérature de jeunesse peut devenir un formidable lieu d’expérimentation. C’est la matière même des voix mises en scène dans l’album, leur tessiture ou leur vibration qui donne à entendre quelque chose de l’expérience intérieure. Dans "N’oublie pas de te laver les dents" Corentin abandonne sa voix de conteur pour une exploration stéréophonique de l’existence. L’auteur devient metteur en voix : il fait entendre le ton qui accompagne la parole, secret d’une diction, geste imperceptible, légère accentuation, signifiance oblique. En ligne : http://journals.openedition.org/strenae/982 Format de la ressource électronique : Texte intégral