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Partir, c’est revivre un peu : l’expérience de l’exil dans "Là-bas, tout au fond du dessin", "Moi, Dieu Merci, qui vis ici" et "Avec trois brins de laine (on refait le monde)" / Sylvain Brehm in Strenae, N° 14 (04/2019)
[article]
Titre : Partir, c’est revivre un peu : l’expérience de l’exil dans "Là-bas, tout au fond du dessin", "Moi, Dieu Merci, qui vis ici" et "Avec trois brins de laine (on refait le monde)" Type de document : document électronique Auteurs : Sylvain Brehm, Auteur Année de publication : 2019 Note générale : Bibliogr., illustrations Langues : Français Mots-clés : exil réfugié migration migrant empathie album Jonas, Anne : 1964- Latik, Olivier : 1976- Cristina, Henriqueta : 1960- Kono, Yara : 1972- Lenain, Thierry : 1959- Balez, Olivier : 1972- Afrique Europe Angola France République tchèque 20e siècle 21e siècle Résumé : Les enjeux liés à l’immigration et au déplacement des réfugiés sont évoqués depuis plusieurs années en littérature pour la jeunesse. Le contexte géopolitique mondial et son retentissement, notamment en Europe en raison d’un afflux sans précédent de personnes déplacées, invite à s’intéresser à la manière dont les albums destinés aux enfants abordent ces délicates questions. Le corpus à l’étude est composé de trois œuvres qui traitent de l’exil et de ses conséquences : "Là-bas, tout au fond du dessin", "Moi, Dieu Merci, qui vis ici" et "Avec trois brins de laine (on refait le monde)". Mon analyse rend d’abord compte des difficultés éprouvées par des personnages migrants contraints de s’adapter à un nouvel environnement, puis des ressources qu’ils déploient pour surmonter ces difficultés. Je montre, ensuite, comment, en réinventant leur vie, les exilés contribuent à changer positivement celle de leur entourage dans le pays d’accueil. Je conclus ma réflexion en examinant les moyens mis en œuvre dans les trois albums afin d’amener les lecteurs à se sentir interpellés par l’expérience des personnages exilés. En ligne : https://journals.openedition.org/strenae/2595 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Strenae > N° 14 (04/2019)[article] Partir, c’est revivre un peu : l’expérience de l’exil dans "Là-bas, tout au fond du dessin", "Moi, Dieu Merci, qui vis ici" et "Avec trois brins de laine (on refait le monde)" [document électronique] / Sylvain Brehm, Auteur . - 2019.
Bibliogr., illustrations
Langues : Français
in Strenae > N° 14 (04/2019)
Mots-clés : exil réfugié migration migrant empathie album Jonas, Anne : 1964- Latik, Olivier : 1976- Cristina, Henriqueta : 1960- Kono, Yara : 1972- Lenain, Thierry : 1959- Balez, Olivier : 1972- Afrique Europe Angola France République tchèque 20e siècle 21e siècle Résumé : Les enjeux liés à l’immigration et au déplacement des réfugiés sont évoqués depuis plusieurs années en littérature pour la jeunesse. Le contexte géopolitique mondial et son retentissement, notamment en Europe en raison d’un afflux sans précédent de personnes déplacées, invite à s’intéresser à la manière dont les albums destinés aux enfants abordent ces délicates questions. Le corpus à l’étude est composé de trois œuvres qui traitent de l’exil et de ses conséquences : "Là-bas, tout au fond du dessin", "Moi, Dieu Merci, qui vis ici" et "Avec trois brins de laine (on refait le monde)". Mon analyse rend d’abord compte des difficultés éprouvées par des personnages migrants contraints de s’adapter à un nouvel environnement, puis des ressources qu’ils déploient pour surmonter ces difficultés. Je montre, ensuite, comment, en réinventant leur vie, les exilés contribuent à changer positivement celle de leur entourage dans le pays d’accueil. Je conclus ma réflexion en examinant les moyens mis en œuvre dans les trois albums afin d’amener les lecteurs à se sentir interpellés par l’expérience des personnages exilés. En ligne : https://journals.openedition.org/strenae/2595 Format de la ressource électronique : Texte intégral