[article] Titre : | De l'Éducation nationale à l'école cosmopolite | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | François Durpaire, Auteur ; Béatrice Mabilon-Bonfils, Auteur | Année de publication : | 2013 | Article en page(s) : | p. 103-113 | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français | Mots-clés : | cosmopolitique tournant global citoyenneté école-monde école extensive | Résumé : | L'école publique est née au moment de la fondation du sentiment d'appartenance nationale. Elle a été l'un des instruments majeurs de son enracinement. Aujourd'hui, la mondialisation remet en cause cette mission fondatrice de l'école. Comment reconstruire une école au moment où les apprentissages recomposent à l'échelle du monde, et où la cohésion se conçoit désormais à l'aune d'identités plurielles et transnationales ? L'article se divise en trois temps. En premier lieu, le temps du passé indique une origine civique de l'école : l'éducation, au-delà de la transmission de connaissances, a eu pour finalité première la formation du "commun" national. Le deuxième moment, celui du global, constitue une rupture qui fait que l'école doit se penser différemment. Le troisième temps, celui du futur, est celle d'une école-monde, d'une école extensive dont on peut anticiper les contours. | En ligne : | http://journals.openedition.org/trema/3102 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Tréma (Montpellier) > 40 (12/2013) . - p. 103-113
[article] De l'Éducation nationale à l'école cosmopolite [texte imprimé] / François Durpaire, Auteur ; Béatrice Mabilon-Bonfils, Auteur . - 2013 . - p. 103-113. Bibliogr. Langues : Français in Tréma (Montpellier) > 40 (12/2013) . - p. 103-113 Mots-clés : | cosmopolitique tournant global citoyenneté école-monde école extensive | Résumé : | L'école publique est née au moment de la fondation du sentiment d'appartenance nationale. Elle a été l'un des instruments majeurs de son enracinement. Aujourd'hui, la mondialisation remet en cause cette mission fondatrice de l'école. Comment reconstruire une école au moment où les apprentissages recomposent à l'échelle du monde, et où la cohésion se conçoit désormais à l'aune d'identités plurielles et transnationales ? L'article se divise en trois temps. En premier lieu, le temps du passé indique une origine civique de l'école : l'éducation, au-delà de la transmission de connaissances, a eu pour finalité première la formation du "commun" national. Le deuxième moment, celui du global, constitue une rupture qui fait que l'école doit se penser différemment. Le troisième temps, celui du futur, est celle d'une école-monde, d'une école extensive dont on peut anticiper les contours. | En ligne : | http://journals.openedition.org/trema/3102 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
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