[article] Titre : | A quoi tient la supériorité des filles ? Contribution à l'analyse historique d'un problème XVIIIe-XXIe siècles | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Pierre Caspard, Auteur | Année de publication : | 2007 | Article en page(s) : | p. 81-148 | Langues : | Français | Mots-clés : | éducation des filles enseignement primaire histoire du genre niveau des élèves performance scolaire France Suisse Neuchâtel (canton) | Résumé : | En France comme ailleurs, les filles obtiennent aujourd’hui de meilleurs résultats scolaires que les garçons, au moins à l’âge de la scolarité obligatoire et dans le domaine de la littératie. En remontant dans le passé pour comparer les performances des filles et des garçons dans des contextes scolaires différents, voire contrastés, on démontre que les premières l’ont emporté, au moins dès le XVIIIe siècle, et dans des proportions proches de celles que l’on constate aujourd’hui. Cette invariance semble attester de leur part une précocité et des aptitudes relativement indépendantes des contextes socio-économiques ; elle témoigne surtout de la continuité entre les objectifs et les exigences intellectuelles de l’école pré-républicaine, et ceux de l’école actuelle. | En ligne : | http://journals.openedition.org/histoire-education/1423 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 115-116 Spécial (09/2007) . - p. 81-148
[article] A quoi tient la supériorité des filles ? Contribution à l'analyse historique d'un problème XVIIIe-XXIe siècles [texte imprimé] / Pierre Caspard, Auteur . - 2007 . - p. 81-148. Langues : Français in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 115-116 Spécial (09/2007) . - p. 81-148 Mots-clés : | éducation des filles enseignement primaire histoire du genre niveau des élèves performance scolaire France Suisse Neuchâtel (canton) | Résumé : | En France comme ailleurs, les filles obtiennent aujourd’hui de meilleurs résultats scolaires que les garçons, au moins à l’âge de la scolarité obligatoire et dans le domaine de la littératie. En remontant dans le passé pour comparer les performances des filles et des garçons dans des contextes scolaires différents, voire contrastés, on démontre que les premières l’ont emporté, au moins dès le XVIIIe siècle, et dans des proportions proches de celles que l’on constate aujourd’hui. Cette invariance semble attester de leur part une précocité et des aptitudes relativement indépendantes des contextes socio-économiques ; elle témoigne surtout de la continuité entre les objectifs et les exigences intellectuelles de l’école pré-républicaine, et ceux de l’école actuelle. | En ligne : | http://journals.openedition.org/histoire-education/1423 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
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