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Catalanismes, espanyolismes i obrerismes (1914-1939). La corporativització de la societat catalana / Martínez Fiol, David in Catalonia, N° 26 (2020/1)
[article]
Titre : Catalanismes, espanyolismes i obrerismes (1914-1939). La corporativització de la societat catalana Titre original : Catalanismes, espagnolismes et ouvriérismes (1914-1939). La corporatisation de la société catalane Type de document : document électronique Auteurs : Martínez Fiol, David, Auteur Année de publication : 2020 Note générale : Bibliogr. Langues : Catalan Mots-clés : catalanisme espagnolisme mouvement ouvrier corporatisme fonction publique Résumé : Cet article explique comment la culture politique catalane du premier tiers du XXe siècle a été marquée non seulement par la confrontation entre catalanistes et espagnols, bourgeois et prolétaires et par la droite et la gauche, mais aussi par une corporatisation progressive de la vie sociale et économique de la Catalogne, conséquence des changements structurels imposés par la croissance urbaine à Barcelone et l’industrialisation. En ligne : https://journals.openedition.org/catalonia/709 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Catalonia > N° 26 (2020/1)[article] Catalanismes, espanyolismes i obrerismes (1914-1939). La corporativització de la societat catalana = Catalanismes, espagnolismes et ouvriérismes (1914-1939). La corporatisation de la société catalane [document électronique] / Martínez Fiol, David, Auteur . - 2020.
Bibliogr.
Langues : Catalan
in Catalonia > N° 26 (2020/1)
Mots-clés : catalanisme espagnolisme mouvement ouvrier corporatisme fonction publique Résumé : Cet article explique comment la culture politique catalane du premier tiers du XXe siècle a été marquée non seulement par la confrontation entre catalanistes et espagnols, bourgeois et prolétaires et par la droite et la gauche, mais aussi par une corporatisation progressive de la vie sociale et économique de la Catalogne, conséquence des changements structurels imposés par la croissance urbaine à Barcelone et l’industrialisation. En ligne : https://journals.openedition.org/catalonia/709 Format de la ressource électronique : Texte intégral Corporation universitaire et société civile : les débats sur la composition du Conseil supérieur de l’instruction publique pendant la Troisième République / Yves Verneuil in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 140-141 (10/2014)
[article]
Titre : Corporation universitaire et société civile : les débats sur la composition du Conseil supérieur de l’instruction publique pendant la Troisième République Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Verneuil, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 51-72 Langues : Français Mots-clés : corporatisme enseignant Conseil supérieur de l’instruction publique réforme éducative parent d'élève Résumé : Héritier du Conseil de l’Université institué en 1808, le Conseil supérieur de l’instruction publique créé par la loi Falloux, en 1850, comprend des représentants des "forces sociales", comme le clergé et la magistrature. Cet élément est conservé et même étendu en 1873. En 1880, Jules Ferry, au contraire, compose le nouveau Conseil supérieur presque exclusivement de membres de l’enseignement public. Les conservateurs s’opposent à la thèse avancée par les républicains selon laquelle il ne saurait y avoir une représentation indépendante de la société en dehors de la représentation nationale, sous la forme du Parlement. On peut voir dans l’argumentation républicaine une marque de ce jacobinisme libéral qui constitue, selon Pierre Rosanvallon, le "modèle politique français". Cependant, quinze ans plus tard, le ministre de l’Instruction publique Émile Combes propose de revenir sur la composition essentiellement universitaire du Conseil supérieur, selon lui source d’étroitesse de vues. Mais son projet suscite une virulente opposition. La réforme de 1933 se limite prudemment à introduire des représentants des parents d’élèves et des chefs d’établissements secondaires publics. En ligne : http://journals.openedition.org/histoire-education/2784 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 140-141 (10/2014) . - p. 51-72[article] Corporation universitaire et société civile : les débats sur la composition du Conseil supérieur de l’instruction publique pendant la Troisième République [texte imprimé] / Yves Verneuil, Auteur . - 2014 . - p. 51-72.
Langues : Français
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 140-141 (10/2014) . - p. 51-72
Mots-clés : corporatisme enseignant Conseil supérieur de l’instruction publique réforme éducative parent d'élève Résumé : Héritier du Conseil de l’Université institué en 1808, le Conseil supérieur de l’instruction publique créé par la loi Falloux, en 1850, comprend des représentants des "forces sociales", comme le clergé et la magistrature. Cet élément est conservé et même étendu en 1873. En 1880, Jules Ferry, au contraire, compose le nouveau Conseil supérieur presque exclusivement de membres de l’enseignement public. Les conservateurs s’opposent à la thèse avancée par les républicains selon laquelle il ne saurait y avoir une représentation indépendante de la société en dehors de la représentation nationale, sous la forme du Parlement. On peut voir dans l’argumentation républicaine une marque de ce jacobinisme libéral qui constitue, selon Pierre Rosanvallon, le "modèle politique français". Cependant, quinze ans plus tard, le ministre de l’Instruction publique Émile Combes propose de revenir sur la composition essentiellement universitaire du Conseil supérieur, selon lui source d’étroitesse de vues. Mais son projet suscite une virulente opposition. La réforme de 1933 se limite prudemment à introduire des représentants des parents d’élèves et des chefs d’établissements secondaires publics. En ligne : http://journals.openedition.org/histoire-education/2784 Format de la ressource électronique : Texte intégral
[article]
Titre : De la fin de l'enseignement Type de document : texte imprimé Auteurs : Rudolf Bkouche, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : p. 40-60 : Langues : Français Mots-clés : culture science enseignant enseignement des mathématiques pédagogie du contrat acquisition de connaissances corporatisme interdisciplinarité pédagogie du vide TPE Résumé : De quelques slogans de l'école moderne. De la culture scolaire. De l'idéologie du contrat. De l'interdisciplinarité comme "truc" pédagogique. De la dévalorisation du savoir dans l'enseignement. Les résistances enseignants et le "corporatisme des professeurs". Appendice 1 : retout sur la pédagogie du vide. Appendice 2 : de la dévalorisation du savoir à la fin de l'enseignement. En ligne : https://publimath.univ-irem.fr/numerisation/WR/IWR05005/IWR05005.pdf Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Repères - IREM > 58 (01/2005) . - p. 40-60 :[article] De la fin de l'enseignement [texte imprimé] / Rudolf Bkouche, Auteur . - 2005 . - p. 40-60 :.
Langues : Français
in Repères - IREM > 58 (01/2005) . - p. 40-60 :
Mots-clés : culture science enseignant enseignement des mathématiques pédagogie du contrat acquisition de connaissances corporatisme interdisciplinarité pédagogie du vide TPE Résumé : De quelques slogans de l'école moderne. De la culture scolaire. De l'idéologie du contrat. De l'interdisciplinarité comme "truc" pédagogique. De la dévalorisation du savoir dans l'enseignement. Les résistances enseignants et le "corporatisme des professeurs". Appendice 1 : retout sur la pédagogie du vide. Appendice 2 : de la dévalorisation du savoir à la fin de l'enseignement. En ligne : https://publimath.univ-irem.fr/numerisation/WR/IWR05005/IWR05005.pdf Format de la ressource électronique : Texte intégral De l’"omnipotence des bureaux" à la représentation du personnel : les organes de décision concernant l’avancement et les promotions dans l’enseignement secondaire entre 1808 et 1940 / Yves Verneuil in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 145 (10/2016)
[article]
Titre : De l’"omnipotence des bureaux" à la représentation du personnel : les organes de décision concernant l’avancement et les promotions dans l’enseignement secondaire entre 1808 et 1940 Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Verneuil, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 45-78 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : syndicalisme enseignant association d’enseignants administration de l’éducation Conseil supérieur de l’instruction publique corporatisme professeur de l’enseignement secondaire Comité consultatif de l’instruction publique Résumé : L’histoire de l’évolution de la procédure décisionnelle de l’avancement et de la promotion des professeurs de l’enseignement secondaire permet de mettre en relief la différence des procédés de gestion administrative selon les régimes politiques entre 1808 et 1940. Cependant, une constante parcourt presque toute la période : l’existence d’un organisme, composé d’universitaires, chargé de faire des propositions en matière d’avancement des professeurs de l’enseignement secondaire. Cet organisme matérialise la part d’autonomie laissée à l’Université, conçue à l’origine comme une corporation. Cependant, entre les deux guerres, émerge parmi les cégétistes la revendication d’une gestion paritaire. Ce système peut être considéré comme le prélude à un néo-corporatisme. Mais certains syndiqués y voient plutôt la transposition de la lutte des classes. Aussi bien cette conception ne fait-elle pas l’unanimité, certains professeurs restant attachés à l’idée de corporation universitaire. En ligne : https://journals.openedition.org/histoire-education/3192 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 145 (10/2016) . - p. 45-78[article] De l’"omnipotence des bureaux" à la représentation du personnel : les organes de décision concernant l’avancement et les promotions dans l’enseignement secondaire entre 1808 et 1940 [texte imprimé] / Yves Verneuil, Auteur . - 2016 . - p. 45-78.
Bibliogr.
Langues : Français
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 145 (10/2016) . - p. 45-78
Mots-clés : syndicalisme enseignant association d’enseignants administration de l’éducation Conseil supérieur de l’instruction publique corporatisme professeur de l’enseignement secondaire Comité consultatif de l’instruction publique Résumé : L’histoire de l’évolution de la procédure décisionnelle de l’avancement et de la promotion des professeurs de l’enseignement secondaire permet de mettre en relief la différence des procédés de gestion administrative selon les régimes politiques entre 1808 et 1940. Cependant, une constante parcourt presque toute la période : l’existence d’un organisme, composé d’universitaires, chargé de faire des propositions en matière d’avancement des professeurs de l’enseignement secondaire. Cet organisme matérialise la part d’autonomie laissée à l’Université, conçue à l’origine comme une corporation. Cependant, entre les deux guerres, émerge parmi les cégétistes la revendication d’une gestion paritaire. Ce système peut être considéré comme le prélude à un néo-corporatisme. Mais certains syndiqués y voient plutôt la transposition de la lutte des classes. Aussi bien cette conception ne fait-elle pas l’unanimité, certains professeurs restant attachés à l’idée de corporation universitaire. En ligne : https://journals.openedition.org/histoire-education/3192 Format de la ressource électronique : Texte intégral Le pouvoir des pairs : le tribunal de la faculté des arts de Paris aux XVIIe et XVIIIe siècles / Boris Noguès in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 145 (10/2016)
[article]
Titre : Le pouvoir des pairs : le tribunal de la faculté des arts de Paris aux XVIIe et XVIIIe siècles Type de document : texte imprimé Auteurs : Boris Noguès, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 19-44 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : corps enseignant corporatisme université de Paris 17e siècle 18e siècle Résumé : Le tribunal de la faculté des arts de Paris naît, sans doute au XVe siècle, comme instance chargée de faire appliquer les règlements et de résoudre les conflits internes. Composé du recteur et des quatre procureurs des nations universitaires, tous élus, il représente alors l’ensemble des membres de la faculté. Cependant, à partir de la fin du XVIIe siècle, les professeurs des collèges d’humanités mettent la main sur l’institution, dont ils excluent les étudiants. Celle-ci devient alors un organe corporatif contrôlant l’entrée dans le groupe enseignant et défendant les intérêts collectifs ou individuels des régents, en particulier contre les principaux, qui échouent à imposer leur autorité. Dans les dernières décennies de l’Ancien Régime, le tribunal esquisse une évolution vers une forme de conseil académique permanent, chargé d’administrer certaines fondations universitaires et de dialoguer avec le pouvoir, marque de la reconnaissance dont il jouit. À travers l’histoire de cette institution universitaire médiévale, l’article met ainsi en valeur la capacité du groupe enseignant à transformer et mobiliser une structure traditionnelle pour se distinguer des étudiants, résister efficacement à l’autorité naissante des chefs d’établissement et finalement affirmer une identité et des intérêts propres. En ligne : https://journals.openedition.org/histoire-education/3177 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 145 (10/2016) . - p. 19-44[article] Le pouvoir des pairs : le tribunal de la faculté des arts de Paris aux XVIIe et XVIIIe siècles [texte imprimé] / Boris Noguès, Auteur . - 2016 . - p. 19-44.
Bibliogr.
Langues : Français
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 145 (10/2016) . - p. 19-44
Mots-clés : corps enseignant corporatisme université de Paris 17e siècle 18e siècle Résumé : Le tribunal de la faculté des arts de Paris naît, sans doute au XVe siècle, comme instance chargée de faire appliquer les règlements et de résoudre les conflits internes. Composé du recteur et des quatre procureurs des nations universitaires, tous élus, il représente alors l’ensemble des membres de la faculté. Cependant, à partir de la fin du XVIIe siècle, les professeurs des collèges d’humanités mettent la main sur l’institution, dont ils excluent les étudiants. Celle-ci devient alors un organe corporatif contrôlant l’entrée dans le groupe enseignant et défendant les intérêts collectifs ou individuels des régents, en particulier contre les principaux, qui échouent à imposer leur autorité. Dans les dernières décennies de l’Ancien Régime, le tribunal esquisse une évolution vers une forme de conseil académique permanent, chargé d’administrer certaines fondations universitaires et de dialoguer avec le pouvoir, marque de la reconnaissance dont il jouit. À travers l’histoire de cette institution universitaire médiévale, l’article met ainsi en valeur la capacité du groupe enseignant à transformer et mobiliser une structure traditionnelle pour se distinguer des étudiants, résister efficacement à l’autorité naissante des chefs d’établissement et finalement affirmer une identité et des intérêts propres. En ligne : https://journals.openedition.org/histoire-education/3177 Format de la ressource électronique : Texte intégral