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Auteur François Dutrait |
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[article]
Titre : Le jeu du mensonge et de la vérité Type de document : texte imprimé Auteurs : François Dutrait, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 18-29 Langues : Français Mots-clés : mensonge vérité erreur autrui sujet éthique Résumé : Seuls les êtres parlants peuvent mentir ; et pourtant le langage chargé d’exprimer ce qu’un sujet ressent ou pense, ainsi que de communiquer des informations, suppose fondamentalement qu’il doive être adéquat avec ce qu’il exprime ou ce qu’il communique ; l’échange langagier ne peut avoir de sens que sur le fond d’une confiance réciproque entre le locuteur et le destinataire concernant la véracité de ce qui est dit. Or, c’est la structure même du langage qui rend possibles et l’erreur et le mensonge. L’approche logique du paradoxe du menteur, l’approche linguistique, métaphysique et psychanalytique, devraient permettre d’éclairer les liens qui enserrent de manière inévitable la vérité, le mensonge et l’erreur. C’est précisément cette impossibilité de dénouer définitivement ces liens qui rend possible et nécessaire une prise de position éthique du sujet. En ligne : http://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2011-4-page-18.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Enfances et psy > 53 (12/2011) . - p. 18-29[article] Le jeu du mensonge et de la vérité [texte imprimé] / François Dutrait, Auteur . - 2011 . - p. 18-29.
Langues : Français
in Enfances et psy > 53 (12/2011) . - p. 18-29
Mots-clés : mensonge vérité erreur autrui sujet éthique Résumé : Seuls les êtres parlants peuvent mentir ; et pourtant le langage chargé d’exprimer ce qu’un sujet ressent ou pense, ainsi que de communiquer des informations, suppose fondamentalement qu’il doive être adéquat avec ce qu’il exprime ou ce qu’il communique ; l’échange langagier ne peut avoir de sens que sur le fond d’une confiance réciproque entre le locuteur et le destinataire concernant la véracité de ce qui est dit. Or, c’est la structure même du langage qui rend possibles et l’erreur et le mensonge. L’approche logique du paradoxe du menteur, l’approche linguistique, métaphysique et psychanalytique, devraient permettre d’éclairer les liens qui enserrent de manière inévitable la vérité, le mensonge et l’erreur. C’est précisément cette impossibilité de dénouer définitivement ces liens qui rend possible et nécessaire une prise de position éthique du sujet. En ligne : http://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2011-4-page-18.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
[article]
Titre : Qu'est-ce qu'un monstre ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Matthieu Dupperex, Auteur ; François Dutrait, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 17-24 Langues : Français Mots-clés : monstre science du vivant fixisme épigenèse évolution éducation culture différence anthropologique transgression Résumé : La notion de monstre appartient en premier lieu à l’étude du vivant. Elle permet de suivre les péripéties de construction d’une science du vivant. Mais cette notion possède également une acception morale. La thématique de « l’informe » permet de faire le lien entre les deux: défaut de la forme biologique, le monstre est inclassable; si la « forme » humaine est le produit de l’éducation, où passe la frontière entre le monstre et le normal? La question du monstre physiologique a permis de justifier le passage d’une conception fixiste à une conception évolutionniste du vivant: la science est capable de proposer une théorie du monstre. Le monstre moral soulève pour sa part le problème de la différence anthropologique, qui elle-même ne peut être pensée en toute rigueur du fait que celui qui l’instaure renvoie du côté de l’informe et de l’impensable ce qui est à informer pour l’avènement de l’humain. En ligne : http://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2011-2-page-17.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Enfances et psy > 51 (04/2011) . - p. 17-24[article] Qu'est-ce qu'un monstre ? [texte imprimé] / Matthieu Dupperex, Auteur ; François Dutrait, Auteur . - 2011 . - p. 17-24.
Langues : Français
in Enfances et psy > 51 (04/2011) . - p. 17-24
Mots-clés : monstre science du vivant fixisme épigenèse évolution éducation culture différence anthropologique transgression Résumé : La notion de monstre appartient en premier lieu à l’étude du vivant. Elle permet de suivre les péripéties de construction d’une science du vivant. Mais cette notion possède également une acception morale. La thématique de « l’informe » permet de faire le lien entre les deux: défaut de la forme biologique, le monstre est inclassable; si la « forme » humaine est le produit de l’éducation, où passe la frontière entre le monstre et le normal? La question du monstre physiologique a permis de justifier le passage d’une conception fixiste à une conception évolutionniste du vivant: la science est capable de proposer une théorie du monstre. Le monstre moral soulève pour sa part le problème de la différence anthropologique, qui elle-même ne peut être pensée en toute rigueur du fait que celui qui l’instaure renvoie du côté de l’informe et de l’impensable ce qui est à informer pour l’avènement de l’humain. En ligne : http://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2011-2-page-17.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral