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Auteur Elisabeth Nonnon |
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Travail de l'enseignant, travail de l'élève dans l'apprentissage initial de la lecture / Elisabeth Nonnon in Repères - Recherches en Didactique du Français Langue Maternelle, 36 (2007)
[article]
Titre : Travail de l'enseignant, travail de l'élève dans l'apprentissage initial de la lecture Type de document : texte imprimé Auteurs : Elisabeth Nonnon, Auteur ; Roland Goigoux, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 5-36 Langues : Français Mots-clés : apprentissage de la lecture travail enseignant élève Résumé : Les travaux sur l'apprentissage de la lecture permettent maintenant de mieux identifier les composantes cognitives, linguistiques, culturelles d'une activité dont ils soulignent la complexité. Mais la plupart s'accordent pour dire qu'on ne peut pas, à partir de modélisation de l'activité de lecture, déduire directement des conclusions sur la façon de mener les apprentissages : on doit reconnaître l'épaisseur de ce qui se passe quotidiennement dans les contextes d'apprentissage de la classe. Le travail mis en oeuvre par enseignants et élèves dans les tâches de lecture n'est pas une simple application d'un modèle didactique. En ligne : http://journals.openedition.org/reperes/459 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Repères - Recherches en Didactique du Français Langue Maternelle > 36 (2007) . - p. 5-36[article] Travail de l'enseignant, travail de l'élève dans l'apprentissage initial de la lecture [texte imprimé] / Elisabeth Nonnon, Auteur ; Roland Goigoux, Auteur . - 2007 . - p. 5-36.
Langues : Français
in Repères - Recherches en Didactique du Français Langue Maternelle > 36 (2007) . - p. 5-36
Mots-clés : apprentissage de la lecture travail enseignant élève Résumé : Les travaux sur l'apprentissage de la lecture permettent maintenant de mieux identifier les composantes cognitives, linguistiques, culturelles d'une activité dont ils soulignent la complexité. Mais la plupart s'accordent pour dire qu'on ne peut pas, à partir de modélisation de l'activité de lecture, déduire directement des conclusions sur la façon de mener les apprentissages : on doit reconnaître l'épaisseur de ce qui se passe quotidiennement dans les contextes d'apprentissage de la classe. Le travail mis en oeuvre par enseignants et élèves dans les tâches de lecture n'est pas une simple application d'un modèle didactique. En ligne : http://journals.openedition.org/reperes/459 Format de la ressource électronique : Texte intégral De l’usage des termes construction et coconstruction dans l’analyse des interactions verbales. Que construit-on, et à quelles conditions, dans des récits en commun ? / Elisabeth Nonnon in Pratiques (Metz), 177-178 (08/2018)
[article]
Titre : De l’usage des termes construction et coconstruction dans l’analyse des interactions verbales. Que construit-on, et à quelles conditions, dans des récits en commun ? Type de document : document électronique Auteurs : Elisabeth Nonnon, Auteur Année de publication : 2018 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : école maternelle apprentissage de la langue orale langage de l’école apprentissage du lexique Résumé : Le terme de construction, comme son dérivé coconstruction, est très usité en sciences de l’éducation et en didactique, et il a été beaucoup utilisé au cours du colloque "Apprentissage du langage oral à l’école maternelle. Regards croisés sur un corpus homogène" (11-12 juin 2015, Montigny-lès-Metz), avec différents compléments : construire une compréhension, une interprétation de l’histoire, coconstruire un récit, des formulations, construire une compétence langagière, etc. Or les "constructions" recouvertes par ces compléments ne se superposent pas, leurs rapports ne relèvent pas de l’évidence : des formulations peu satisfaisantes ne veulent pas dire qu’on ne comprend pas une histoire, et l’inverse est vrai aussi, surtout si la part de la mémorisation est importante comme dans le corpus proposé. Le terme de construction lui-même, malgré son évidence apparente due à l’usage, est également loin d’aller de soi. Il peut renvoyer à des significations très différentes, comme l’a montré I. Hacking (2008) à propos du terme de construction sociale en sociologie et en épistémologie : l’interrogation de son titre, "la construction sociale de quoi ?" suggère la pluralité des approches et des systèmes. Il s’agit d’un problème théorique connu, qui renvoie à une longue tradition philosophique, mais en même temps ses enjeux sont concrets pour des chercheurs en éducation : savoir ce qu’on cherche à construire et ce qu’on entend par construction questionne ce qu’on vise et ce qu’on fait dans des séances de langage en maternelle, et ce que peuvent en conclure les chercheurs. En ligne : https://journals.openedition.org/pratiques/4449 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Pratiques (Metz) > 177-178 (08/2018)[article] De l’usage des termes construction et coconstruction dans l’analyse des interactions verbales. Que construit-on, et à quelles conditions, dans des récits en commun ? [document électronique] / Elisabeth Nonnon, Auteur . - 2018.
Bibliogr.
Langues : Français
in Pratiques (Metz) > 177-178 (08/2018)
Mots-clés : école maternelle apprentissage de la langue orale langage de l’école apprentissage du lexique Résumé : Le terme de construction, comme son dérivé coconstruction, est très usité en sciences de l’éducation et en didactique, et il a été beaucoup utilisé au cours du colloque "Apprentissage du langage oral à l’école maternelle. Regards croisés sur un corpus homogène" (11-12 juin 2015, Montigny-lès-Metz), avec différents compléments : construire une compréhension, une interprétation de l’histoire, coconstruire un récit, des formulations, construire une compétence langagière, etc. Or les "constructions" recouvertes par ces compléments ne se superposent pas, leurs rapports ne relèvent pas de l’évidence : des formulations peu satisfaisantes ne veulent pas dire qu’on ne comprend pas une histoire, et l’inverse est vrai aussi, surtout si la part de la mémorisation est importante comme dans le corpus proposé. Le terme de construction lui-même, malgré son évidence apparente due à l’usage, est également loin d’aller de soi. Il peut renvoyer à des significations très différentes, comme l’a montré I. Hacking (2008) à propos du terme de construction sociale en sociologie et en épistémologie : l’interrogation de son titre, "la construction sociale de quoi ?" suggère la pluralité des approches et des systèmes. Il s’agit d’un problème théorique connu, qui renvoie à une longue tradition philosophique, mais en même temps ses enjeux sont concrets pour des chercheurs en éducation : savoir ce qu’on cherche à construire et ce qu’on entend par construction questionne ce qu’on vise et ce qu’on fait dans des séances de langage en maternelle, et ce que peuvent en conclure les chercheurs. En ligne : https://journals.openedition.org/pratiques/4449 Format de la ressource électronique : Texte intégral