BASE DE DONNÉES
DES REVUES DE LA FDE
Liste des revues dépouillées
de la Faculté d'Éducation de l'Académie de Montpellier.
Pour connaître la disponibilité d'un numéro, reportez vous au catalogue BIU
CRD11
CRD30
CRD34
CRD48
CRD66
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
7 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Dewey, John (1859-1952)'
Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
De la culture du résultat à l’expérience formatrice : la pratique et le pragmatisme / Michel Fabre in Recherches en éducation, N°5 (06/2008)
[article]
Titre : De la culture du résultat à l’expérience formatrice : la pratique et le pragmatisme Type de document : document électronique Auteurs : Michel Fabre, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 9-20 Langues : Français Mots-clés : théorie pédagogique pragmatisme philosophie de l’éducation Peirce, Charles Sander (1839-1914) Dewey, John (1859-1952) James, William (1842-1910) Résumé : On confond trop souvent le pragmatisme avec une forme sophistiquée de l’utilitarisme sans comprendre que James, Peirce et Dewey nous obligent en réalité à renouveler notre vocabulaire de la pratique. En deçà des différents courants du pragmatisme et de ses dissensions internes, le noyau dur du pragmatiste est constitué d’une théorie conséquentialiste et non représentative de la signification et de la vérité. L’idée est un outil et non une image du monde, ce qui récuse le dualisme qu’opère le sens commun entre la théorie et la pratique, entre le concret et l’abstrait. Il y a donc loin de l’attitude pragmatique au pragmatisme : le pragmatisme n’est ni un utilitarisme ni un praticisme. Loin de promouvoir cyniquement une culture du résultat, le pragmatisme (et en particulier celui de Dewey) s’intéresse surtout au processus par lequel l’expérience s’accroît et s’approfondit, ce qui est l’essence même de l’éducation tout au long de la vie. En ligne : https://journals.openedition.org/ree/3966 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Recherches en éducation > N°5 (06/2008) . - p. 9-20[article] De la culture du résultat à l’expérience formatrice : la pratique et le pragmatisme [document électronique] / Michel Fabre, Auteur . - 2008 . - p. 9-20.
Langues : Français
in Recherches en éducation > N°5 (06/2008) . - p. 9-20
Mots-clés : théorie pédagogique pragmatisme philosophie de l’éducation Peirce, Charles Sander (1839-1914) Dewey, John (1859-1952) James, William (1842-1910) Résumé : On confond trop souvent le pragmatisme avec une forme sophistiquée de l’utilitarisme sans comprendre que James, Peirce et Dewey nous obligent en réalité à renouveler notre vocabulaire de la pratique. En deçà des différents courants du pragmatisme et de ses dissensions internes, le noyau dur du pragmatiste est constitué d’une théorie conséquentialiste et non représentative de la signification et de la vérité. L’idée est un outil et non une image du monde, ce qui récuse le dualisme qu’opère le sens commun entre la théorie et la pratique, entre le concret et l’abstrait. Il y a donc loin de l’attitude pragmatique au pragmatisme : le pragmatisme n’est ni un utilitarisme ni un praticisme. Loin de promouvoir cyniquement une culture du résultat, le pragmatisme (et en particulier celui de Dewey) s’intéresse surtout au processus par lequel l’expérience s’accroît et s’approfondit, ce qui est l’essence même de l’éducation tout au long de la vie. En ligne : https://journals.openedition.org/ree/3966 Format de la ressource électronique : Texte intégral L'éducation chez Dewey : conversion ou adaptation ? / Michel Fabre in Recherches en éducation, N°5 (06/2008)
[article]
Titre : L'éducation chez Dewey : conversion ou adaptation ? Type de document : document électronique Auteurs : Michel Fabre, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 33-44 Langues : Français Mots-clés : théorie pédagogique histoire de l'éducation philosophie de l’éducation idée éducative pragmatisme Dewey, John (1859-1952) Résumé : Dewey pense l’éducation comme adaptation. Cela nous fait-il sortir de l’idée éducative de l’école de la modernité, telle que Durkheim la définissait comme unité d'esprit de l’enseignement, accès à l’encyclopédie et conversion ?
Contrairement aux conceptions réductrices de l’adaptation condamnées dans les débats actuels sur l’école, l’idée d’adaptation chez Dewey se distingue d’un ajustage utilitariste et n’assigne à l’éducation aucune fin extérieure à elle-même. L’adaptation n'est autre que l’expérience toujours remaniée et cette expérience est éducative. Dewey ne réduit pas les intérêts de l’éducation aux intérêts sociaux du moment, mais il pense l’éducation comme processus continué, dans lequel le sujet se forme en modifiant son milieu social. Certes l’adaptation enveloppe un schème de continuité qui tranche avec la « volte-face" qu’implique la conversion, mais pour l’essentiel, la pensée de Dewey reste dans l’idée éducative de la modernité dont elle achève la sécularisation : elle désacralise sans dévaloriser.En ligne : https://journals.openedition.org/ree/3981 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Recherches en éducation > N°5 (06/2008) . - p. 33-44[article] L'éducation chez Dewey : conversion ou adaptation ? [document électronique] / Michel Fabre, Auteur . - 2008 . - p. 33-44.
Langues : Français
in Recherches en éducation > N°5 (06/2008) . - p. 33-44
Mots-clés : théorie pédagogique histoire de l'éducation philosophie de l’éducation idée éducative pragmatisme Dewey, John (1859-1952) Résumé : Dewey pense l’éducation comme adaptation. Cela nous fait-il sortir de l’idée éducative de l’école de la modernité, telle que Durkheim la définissait comme unité d'esprit de l’enseignement, accès à l’encyclopédie et conversion ?
Contrairement aux conceptions réductrices de l’adaptation condamnées dans les débats actuels sur l’école, l’idée d’adaptation chez Dewey se distingue d’un ajustage utilitariste et n’assigne à l’éducation aucune fin extérieure à elle-même. L’adaptation n'est autre que l’expérience toujours remaniée et cette expérience est éducative. Dewey ne réduit pas les intérêts de l’éducation aux intérêts sociaux du moment, mais il pense l’éducation comme processus continué, dans lequel le sujet se forme en modifiant son milieu social. Certes l’adaptation enveloppe un schème de continuité qui tranche avec la « volte-face" qu’implique la conversion, mais pour l’essentiel, la pensée de Dewey reste dans l’idée éducative de la modernité dont elle achève la sécularisation : elle désacralise sans dévaloriser.En ligne : https://journals.openedition.org/ree/3981 Format de la ressource électronique : Texte intégral La faute à DEWEY. À propos de quelques contresens sur sa philosophie de l’éducation / Michel Fabre in Recherches en éducation, N°28 (03/2017)
[article]
Titre : La faute à DEWEY. À propos de quelques contresens sur sa philosophie de l’éducation Type de document : document électronique Auteurs : Michel Fabre, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 124-136 Langues : Français Mots-clés : Dewey, John (1859-1952) philosophie de l'éducation Résumé : Lors de la crise de l’éducation des années 1960 aux États-Unis, des intellectuels comme Hannah Arendt mettent en cause la pensée éducative de John Dewey. On l’accuse ainsi d’encourager l’autonomisation du monde des enfants, de privilégier la démarche pédagogique aux dépens des
contenus, de substituer le savoir-faire à l’apprendre. Ces accusations sont indéfiniment reprises par la critique anti-
pédagogique qui sévit en France depuis les années 1980. Cet article tente ici de faire le partage entre la véritable pensée pédagogique de Dewey et les dérives de certains de ses disciples, qui ont sans doute contribué à
l’incompréhension de la philosophie pragmatiste de l’éducation. Il s’agira également de mettre en
évidence les ressources critiques de la pensée de Dewey à l’égard d’un certain nombre de présupposés pédagogiques passés et présents qui se réclament pourtant du bon sens.En ligne : https://journals.openedition.org/ree/6074 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Recherches en éducation > N°28 (03/2017) . - p. 124-136[article] La faute à DEWEY. À propos de quelques contresens sur sa philosophie de l’éducation [document électronique] / Michel Fabre, Auteur . - 2017 . - p. 124-136.
Langues : Français
in Recherches en éducation > N°28 (03/2017) . - p. 124-136
Mots-clés : Dewey, John (1859-1952) philosophie de l'éducation Résumé : Lors de la crise de l’éducation des années 1960 aux États-Unis, des intellectuels comme Hannah Arendt mettent en cause la pensée éducative de John Dewey. On l’accuse ainsi d’encourager l’autonomisation du monde des enfants, de privilégier la démarche pédagogique aux dépens des
contenus, de substituer le savoir-faire à l’apprendre. Ces accusations sont indéfiniment reprises par la critique anti-
pédagogique qui sévit en France depuis les années 1980. Cet article tente ici de faire le partage entre la véritable pensée pédagogique de Dewey et les dérives de certains de ses disciples, qui ont sans doute contribué à
l’incompréhension de la philosophie pragmatiste de l’éducation. Il s’agira également de mettre en
évidence les ressources critiques de la pensée de Dewey à l’égard d’un certain nombre de présupposés pédagogiques passés et présents qui se réclament pourtant du bon sens.En ligne : https://journals.openedition.org/ree/6074 Format de la ressource électronique : Texte intégral De l’intérêt au savoir : le processus de l’apprentissage chez Dewey et Bachelard / Michel Fabre in Recherches en éducation, N°6 (01/2009)
[article]
Titre : De l’intérêt au savoir : le processus de l’apprentissage chez Dewey et Bachelard Type de document : document électronique Auteurs : Michel Fabre, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Sébastien Charbonnier, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 80-95 Langues : Français Mots-clés : apprentissage cognition relations enseignant-apprenant interaction élève-enseignant Bachelard, Gaston (1884-1962) Dewey, John (1859-1952) Résumé : Il s’agit, dans cet article, de rapprocher les pensées, à priori opposées, de Dewey et Bachelard concernant le rôle et le fonctionnement de l’apprentissage. Les thèmes abordés correspondent à l’ordre génétique de production de la connaissance. Se pose d’abord le problème de la dialectique entre l’intérêt et l’effort. Comment susciter le désir d’apprendre chez les élèves ? En même temps, comment gérer les impulsions premières qui sont autant d’obstacles à la connaissance ? Les deux auteurs partagent une même défiance vis-à-vis de la paresse intellectuelle des explications du sens commun, mais savent prendre en compte la nécessité d’« intéresser" les élèves pour autoriser un effort qui ne soit pas une souffrance. Une fois l’amorce du processus d’apprentissage établie, se pose le problème de la nature du savoir offert à l’apprentissage. Celui-ci n’est plus contemplation passive mais expérimentation active. La connaissance n’est plus un état, elle est un devenir – elle se situe « dans » le passage. Il s’agit donc de partir de ce que les élèves savent pour travailler dessus. L’épistémologie suit la psychologie : de même qu’il faut partir des intérêts actuels des élèves pour les réformer, de même il faut partir des connaissances des élèves pour les rectifier. Quelle est alors la conception de la relation enseignante qui découle d’un savoir conçu de cette sorte ? Le cogito se dédouble dans les deux figures du maître et de l’élève, désormais interchangeables alternativement. On ne corrige plus l’élève, on se corrige les uns les autres. Le savoir se construit comme la perspective générale des erreurs rectifiées. Il en résulte une pédagogie relationnelle en un sens non seulement intersubjectif mais transcendantal. Le maître et l’élève sont moins des personnes physiques que des « personnages conceptuels" qui correspondent à des moments de la pensée. En ligne : https://journals.openedition.org/ree/4143 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Recherches en éducation > N°6 (01/2009) . - p. 80-95[article] De l’intérêt au savoir : le processus de l’apprentissage chez Dewey et Bachelard [document électronique] / Michel Fabre, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Sébastien Charbonnier, Auteur . - 2009 . - p. 80-95.
Langues : Français
in Recherches en éducation > N°6 (01/2009) . - p. 80-95
Mots-clés : apprentissage cognition relations enseignant-apprenant interaction élève-enseignant Bachelard, Gaston (1884-1962) Dewey, John (1859-1952) Résumé : Il s’agit, dans cet article, de rapprocher les pensées, à priori opposées, de Dewey et Bachelard concernant le rôle et le fonctionnement de l’apprentissage. Les thèmes abordés correspondent à l’ordre génétique de production de la connaissance. Se pose d’abord le problème de la dialectique entre l’intérêt et l’effort. Comment susciter le désir d’apprendre chez les élèves ? En même temps, comment gérer les impulsions premières qui sont autant d’obstacles à la connaissance ? Les deux auteurs partagent une même défiance vis-à-vis de la paresse intellectuelle des explications du sens commun, mais savent prendre en compte la nécessité d’« intéresser" les élèves pour autoriser un effort qui ne soit pas une souffrance. Une fois l’amorce du processus d’apprentissage établie, se pose le problème de la nature du savoir offert à l’apprentissage. Celui-ci n’est plus contemplation passive mais expérimentation active. La connaissance n’est plus un état, elle est un devenir – elle se situe « dans » le passage. Il s’agit donc de partir de ce que les élèves savent pour travailler dessus. L’épistémologie suit la psychologie : de même qu’il faut partir des intérêts actuels des élèves pour les réformer, de même il faut partir des connaissances des élèves pour les rectifier. Quelle est alors la conception de la relation enseignante qui découle d’un savoir conçu de cette sorte ? Le cogito se dédouble dans les deux figures du maître et de l’élève, désormais interchangeables alternativement. On ne corrige plus l’élève, on se corrige les uns les autres. Le savoir se construit comme la perspective générale des erreurs rectifiées. Il en résulte une pédagogie relationnelle en un sens non seulement intersubjectif mais transcendantal. Le maître et l’élève sont moins des personnes physiques que des « personnages conceptuels" qui correspondent à des moments de la pensée. En ligne : https://journals.openedition.org/ree/4143 Format de la ressource électronique : Texte intégral La notion d’expérience chez John Dewey : une perspective éducative / Michel Fabre in Recherches en éducation, N°5 (06/2008)
[article]
Titre : La notion d’expérience chez John Dewey : une perspective éducative Type de document : document électronique Auteurs : Michel Fabre, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Renaud Hetier, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 21-33 Langues : Français Mots-clés : théorie pédagogique histoire de l'éducation philosophie de l’éducation expérience Dewey, John (1859-1952) Résumé : De plus en plus, la notion d’expérience est mobilisée en éducation pour tenter de rendre compte de la pratique des acteurs, et notamment en sociologie (Dubet, 2002, p.403). D’une certaine manière, tout y concourt : l’individualisme comme l’individualisation, l’injonction à gérer les problèmes localement et de s’adapter, le souci de prendre en compte les différences. L’apport de John Dewey est alors précieux, dans la mesure où celui-ci a continûment porté l’idée que l’expérience était centrale en éducation. Mais il n’en a pas moins veillé à en établir la méthode, méthode visant à garantir les conditions de l’expérience pour que celle-ci soit certes authentique (vécue), mais pas moins source de progrès (par une assertabilité garantie) et pivot des nouvelles expériences toujours à venir. Ce double ancrage (authenticité/assertabilité) peut nous inciter à réviser une opposition hâtive entre pédagogie active et production de savoirs scolaires. En ligne : https://journals.openedition.org/ree/3979 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Recherches en éducation > N°5 (06/2008) . - p. 21-33[article] La notion d’expérience chez John Dewey : une perspective éducative [document électronique] / Michel Fabre, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Renaud Hetier, Auteur . - 2008 . - p. 21-33.
Langues : Français
in Recherches en éducation > N°5 (06/2008) . - p. 21-33
Mots-clés : théorie pédagogique histoire de l'éducation philosophie de l’éducation expérience Dewey, John (1859-1952) Résumé : De plus en plus, la notion d’expérience est mobilisée en éducation pour tenter de rendre compte de la pratique des acteurs, et notamment en sociologie (Dubet, 2002, p.403). D’une certaine manière, tout y concourt : l’individualisme comme l’individualisation, l’injonction à gérer les problèmes localement et de s’adapter, le souci de prendre en compte les différences. L’apport de John Dewey est alors précieux, dans la mesure où celui-ci a continûment porté l’idée que l’expérience était centrale en éducation. Mais il n’en a pas moins veillé à en établir la méthode, méthode visant à garantir les conditions de l’expérience pour que celle-ci soit certes authentique (vécue), mais pas moins source de progrès (par une assertabilité garantie) et pivot des nouvelles expériences toujours à venir. Ce double ancrage (authenticité/assertabilité) peut nous inciter à réviser une opposition hâtive entre pédagogie active et production de savoirs scolaires. En ligne : https://journals.openedition.org/ree/3979 Format de la ressource électronique : Texte intégral Problème et vérité dans la pensée éducative contemporaine / Alain Firode in Penser l'éducation, N° 49. 2021-2 (2021)
PermalinkQu’est-ce que problématiser ? Genèses d’un paradigme / Michel Fabre in Recherches en éducation, N°6 (01/2009)
Permalink