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Auteur Jean-François Chanet |
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Le choix de Ferry : la guerre des crucifix n'aura pas lieu / Jean-François Chanet in L'Histoire (Paris. 1978), 289 (07/2004)
[article]
Titre : Le choix de Ferry : la guerre des crucifix n'aura pas lieu Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Chanet, Auteur Année de publication : 2004 Article en page(s) : p.58-63 Langues : Français Mots-clés : réforme de l'enseignement laïcité Ferry, Jules : 1832-1893 France 19e siècle Résumé : Analyse, en 2004, de la politique menée par Jules Ferry et des raisons qui lui ont fait promulguer les lois sur l'école républicaine et laïque. Les problèmes suscités par ces lois.
in L'Histoire (Paris. 1978) > 289 (07/2004) . - p.58-63[article] Le choix de Ferry : la guerre des crucifix n'aura pas lieu [texte imprimé] / Jean-François Chanet, Auteur . - 2004 . - p.58-63.
Langues : Français
in L'Histoire (Paris. 1978) > 289 (07/2004) . - p.58-63
Mots-clés : réforme de l'enseignement laïcité Ferry, Jules : 1832-1893 France 19e siècle Résumé : Analyse, en 2004, de la politique menée par Jules Ferry et des raisons qui lui ont fait promulguer les lois sur l'école républicaine et laïque. Les problèmes suscités par ces lois. "La connaissance est la première forme du respect et ce serait déjà beaucoup que de la faire progresser" / Jean-François Chanet in Diversité, 201 (12/2022)
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[article]
Titre : "La connaissance est la première forme du respect et ce serait déjà beaucoup que de la faire progresser" Type de document : document électronique Auteurs : Jean-François Chanet, Personne interviewée ; Régis Guyon, Intervieweur Année de publication : 2022 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : laïcité loi de 1905 séparation de l’Église et de l’État neutralité éthique professionnelle Résumé : Sous la IIIe République, l’État a opéré la séparation de l’école avec l’Église et les cultes. Peut-on pour autant parler de rupture nette ou bien d’un processus long et d’une séparation finalement plutôt progressive ? Il s’agit bien d’un processus et nul n’a misé sur la longueur de temps plus que Jules Ferry. Gratuité, obligation et laïcité, ces trois termes restent associés aux deux lois du 16 juin 1881 et du 28 mars 1882. Mais le mot "laïcité" ni l’adjectif "laïque" ne figurent dans aucun de ces deux textes. Le caractère laïque est en fait attaché aux programmes de l’enseignement primaire, dont il est précisé, à l’article 1er de la loi de 1882, qu’il comprend "l’instruction morale et civique". Cette mention en tête de la liste des matières a une grande portée, car l’épithète "religieuse" disparaît... En ligne : https://publications-prairial.fr/diversite/index.php?id=2920 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Diversité > 201 (12/2022)[article] "La connaissance est la première forme du respect et ce serait déjà beaucoup que de la faire progresser" [document électronique] / Jean-François Chanet, Personne interviewée ; Régis Guyon, Intervieweur . - 2022.
Bibliogr.
Langues : Français
in Diversité > 201 (12/2022)
Mots-clés : laïcité loi de 1905 séparation de l’Église et de l’État neutralité éthique professionnelle Résumé : Sous la IIIe République, l’État a opéré la séparation de l’école avec l’Église et les cultes. Peut-on pour autant parler de rupture nette ou bien d’un processus long et d’une séparation finalement plutôt progressive ? Il s’agit bien d’un processus et nul n’a misé sur la longueur de temps plus que Jules Ferry. Gratuité, obligation et laïcité, ces trois termes restent associés aux deux lois du 16 juin 1881 et du 28 mars 1882. Mais le mot "laïcité" ni l’adjectif "laïque" ne figurent dans aucun de ces deux textes. Le caractère laïque est en fait attaché aux programmes de l’enseignement primaire, dont il est précisé, à l’article 1er de la loi de 1882, qu’il comprend "l’instruction morale et civique". Cette mention en tête de la liste des matières a une grande portée, car l’épithète "religieuse" disparaît... En ligne : https://publications-prairial.fr/diversite/index.php?id=2920 Format de la ressource électronique : Texte intégral Des institutrices pour les garçons. La féminisation de l'enseignement primaire en France des années 1880 aux années 1920 / Jean-François Chanet in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 115-116 Spécial (09/2007)
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[article]
Titre : Des institutrices pour les garçons. La féminisation de l'enseignement primaire en France des années 1880 aux années 1920 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Chanet, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 171-193 Langues : Français Mots-clés : élève garçon place publique corps enseignant enseignante enseignement primaire histoire du genre 19e siècle 20e siècle Résumé : Françoise Mayeur a fait ressortir la durable contradiction française entre une valorisation réelle de la part prise par les femmes à l’effort d’éducation nationale et la persistance d’une conception d’ensemble de l’École et de la société reflétant la position dominante des hommes et l’attachement à son maintien. Cet article propose d’ajouter à la démonstration en examinant la place faite aux femmes dans l’enseignement primaire et particulièrement dans les cas où elles avaient pour élèves des garçons. Sont ici analysées les raisons de cette présence croissante des femmes : crise du recrutement masculin, acceptation par les femmes titulaires du seul brevet élémentaire des postes les moins recherchés, besoins consécutifs aux lois de laïcisation, mobilisation des instituteurs en 1914-1918. Même si l’égalisation des traitements en 1919 est une avancée notable dans l’histoire des femmes en France, elle n’empêche pas que, jusqu’au milieu des années 1930, l’administration de l’instruction publique continue de regarder la "féminisation" du corps comme un phénomène conjoncturel ou une tendance regrettable. En ligne : http://journals.openedition.org/histoire-education/1425 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 115-116 Spécial (09/2007) . - p. 171-193[article] Des institutrices pour les garçons. La féminisation de l'enseignement primaire en France des années 1880 aux années 1920 [texte imprimé] / Jean-François Chanet, Auteur . - 2007 . - p. 171-193.
Langues : Français
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 115-116 Spécial (09/2007) . - p. 171-193
Mots-clés : élève garçon place publique corps enseignant enseignante enseignement primaire histoire du genre 19e siècle 20e siècle Résumé : Françoise Mayeur a fait ressortir la durable contradiction française entre une valorisation réelle de la part prise par les femmes à l’effort d’éducation nationale et la persistance d’une conception d’ensemble de l’École et de la société reflétant la position dominante des hommes et l’attachement à son maintien. Cet article propose d’ajouter à la démonstration en examinant la place faite aux femmes dans l’enseignement primaire et particulièrement dans les cas où elles avaient pour élèves des garçons. Sont ici analysées les raisons de cette présence croissante des femmes : crise du recrutement masculin, acceptation par les femmes titulaires du seul brevet élémentaire des postes les moins recherchés, besoins consécutifs aux lois de laïcisation, mobilisation des instituteurs en 1914-1918. Même si l’égalisation des traitements en 1919 est une avancée notable dans l’histoire des femmes en France, elle n’empêche pas que, jusqu’au milieu des années 1930, l’administration de l’instruction publique continue de regarder la "féminisation" du corps comme un phénomène conjoncturel ou une tendance regrettable. En ligne : http://journals.openedition.org/histoire-education/1425 Format de la ressource électronique : Texte intégral Les trois instituteurs de l’Aisne, héros ou victimes de la guerre ? Construction et transformations d’un mythe éducatif (1870-1929) / Jean-François Chanet in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 135 (07/2012)
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[article]
Titre : Les trois instituteurs de l’Aisne, héros ou victimes de la guerre ? Construction et transformations d’un mythe éducatif (1870-1929) Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Chanet, Auteur ; Guillaume Parisot, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 35-65 Note générale : Notes Langues : Français Mots-clés : éducation civique 19e siècle instituteur aspect politique de l’éducation éducation patriotique histoire nationale commémoration Guerre de 1870 corps enseignant Résumé : L’exécution par les Allemands de Jules Debordeaux, Louis Poulette et Jules Leroy, trois instituteurs de l’Aisne, entre le 10 octobre 1870 et le 11 janvier 1871, apparaît assez en décalage avec les canons traditionnels de l’héroïsme. Quoique tombés parmi d’autres victimes de la répression allemande dont les noms ont été rapidement oubliés, ces trois hommes ont été, sur une initiative locale en premier lieu, élevés à la dignité de héros du corps des instituteurs. Exempté du port des armes en 1870-1871, ce corps, suivant la reconstruction mythique qui a conduit à l’inauguration du monument de Laon en 1899, n’en avait pas moins, de façon plus ou moins ouverte, apporté son concours à la défense nationale. Le souvenir de Debordeaux, Poulette et Leroy devait servir à l’édification des nouvelles générations de maîtres d’école et à celle de leurs élèves. Ce processus d’héroïsation et les usages de ce mythe éducatif méritent de retenir l’attention à d’autres titres. L’étude des vertus prêtées aux mémoires locale et nationale des trois instituteurs de l’Aisne s’inscrit dans une histoire de la symbolique politique. Elle éclaire par ailleurs les relations entre patriotisme et syndicalisme enseignant durant le premier entre-deux-guerres entre la France et l’Allemagne. En ligne : http://journals.openedition.org/histoire-education/2511 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 135 (07/2012) . - p. 35-65[article] Les trois instituteurs de l’Aisne, héros ou victimes de la guerre ? Construction et transformations d’un mythe éducatif (1870-1929) [texte imprimé] / Jean-François Chanet, Auteur ; Guillaume Parisot, Auteur . - 2012 . - p. 35-65.
Notes
Langues : Français
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 135 (07/2012) . - p. 35-65
Mots-clés : éducation civique 19e siècle instituteur aspect politique de l’éducation éducation patriotique histoire nationale commémoration Guerre de 1870 corps enseignant Résumé : L’exécution par les Allemands de Jules Debordeaux, Louis Poulette et Jules Leroy, trois instituteurs de l’Aisne, entre le 10 octobre 1870 et le 11 janvier 1871, apparaît assez en décalage avec les canons traditionnels de l’héroïsme. Quoique tombés parmi d’autres victimes de la répression allemande dont les noms ont été rapidement oubliés, ces trois hommes ont été, sur une initiative locale en premier lieu, élevés à la dignité de héros du corps des instituteurs. Exempté du port des armes en 1870-1871, ce corps, suivant la reconstruction mythique qui a conduit à l’inauguration du monument de Laon en 1899, n’en avait pas moins, de façon plus ou moins ouverte, apporté son concours à la défense nationale. Le souvenir de Debordeaux, Poulette et Leroy devait servir à l’édification des nouvelles générations de maîtres d’école et à celle de leurs élèves. Ce processus d’héroïsation et les usages de ce mythe éducatif méritent de retenir l’attention à d’autres titres. L’étude des vertus prêtées aux mémoires locale et nationale des trois instituteurs de l’Aisne s’inscrit dans une histoire de la symbolique politique. Elle éclaire par ailleurs les relations entre patriotisme et syndicalisme enseignant durant le premier entre-deux-guerres entre la France et l’Allemagne. En ligne : http://journals.openedition.org/histoire-education/2511 Format de la ressource électronique : Texte intégral