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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Bachelard, Gaston (1884-1962)'
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De l’intérêt au savoir : le processus de l’apprentissage chez Dewey et Bachelard / Michel Fabre in Recherches en éducation, N°6 (01/2009)
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[article]
Titre : De l’intérêt au savoir : le processus de l’apprentissage chez Dewey et Bachelard Type de document : document électronique Auteurs : Michel Fabre, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Sébastien Charbonnier, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 80-95 Langues : Français Mots-clés : apprentissage cognition relations enseignant-apprenant interaction élève-enseignant Bachelard, Gaston (1884-1962) Dewey, John (1859-1952) Résumé : Il s’agit, dans cet article, de rapprocher les pensées, à priori opposées, de Dewey et Bachelard concernant le rôle et le fonctionnement de l’apprentissage. Les thèmes abordés correspondent à l’ordre génétique de production de la connaissance. Se pose d’abord le problème de la dialectique entre l’intérêt et l’effort. Comment susciter le désir d’apprendre chez les élèves ? En même temps, comment gérer les impulsions premières qui sont autant d’obstacles à la connaissance ? Les deux auteurs partagent une même défiance vis-à-vis de la paresse intellectuelle des explications du sens commun, mais savent prendre en compte la nécessité d’« intéresser" les élèves pour autoriser un effort qui ne soit pas une souffrance. Une fois l’amorce du processus d’apprentissage établie, se pose le problème de la nature du savoir offert à l’apprentissage. Celui-ci n’est plus contemplation passive mais expérimentation active. La connaissance n’est plus un état, elle est un devenir – elle se situe « dans » le passage. Il s’agit donc de partir de ce que les élèves savent pour travailler dessus. L’épistémologie suit la psychologie : de même qu’il faut partir des intérêts actuels des élèves pour les réformer, de même il faut partir des connaissances des élèves pour les rectifier. Quelle est alors la conception de la relation enseignante qui découle d’un savoir conçu de cette sorte ? Le cogito se dédouble dans les deux figures du maître et de l’élève, désormais interchangeables alternativement. On ne corrige plus l’élève, on se corrige les uns les autres. Le savoir se construit comme la perspective générale des erreurs rectifiées. Il en résulte une pédagogie relationnelle en un sens non seulement intersubjectif mais transcendantal. Le maître et l’élève sont moins des personnes physiques que des « personnages conceptuels" qui correspondent à des moments de la pensée. En ligne : https://journals.openedition.org/ree/4143 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Recherches en éducation > N°6 (01/2009) . - p. 80-95[article] De l’intérêt au savoir : le processus de l’apprentissage chez Dewey et Bachelard [document électronique] / Michel Fabre, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Sébastien Charbonnier, Auteur . - 2009 . - p. 80-95.
Langues : Français
in Recherches en éducation > N°6 (01/2009) . - p. 80-95
Mots-clés : apprentissage cognition relations enseignant-apprenant interaction élève-enseignant Bachelard, Gaston (1884-1962) Dewey, John (1859-1952) Résumé : Il s’agit, dans cet article, de rapprocher les pensées, à priori opposées, de Dewey et Bachelard concernant le rôle et le fonctionnement de l’apprentissage. Les thèmes abordés correspondent à l’ordre génétique de production de la connaissance. Se pose d’abord le problème de la dialectique entre l’intérêt et l’effort. Comment susciter le désir d’apprendre chez les élèves ? En même temps, comment gérer les impulsions premières qui sont autant d’obstacles à la connaissance ? Les deux auteurs partagent une même défiance vis-à-vis de la paresse intellectuelle des explications du sens commun, mais savent prendre en compte la nécessité d’« intéresser" les élèves pour autoriser un effort qui ne soit pas une souffrance. Une fois l’amorce du processus d’apprentissage établie, se pose le problème de la nature du savoir offert à l’apprentissage. Celui-ci n’est plus contemplation passive mais expérimentation active. La connaissance n’est plus un état, elle est un devenir – elle se situe « dans » le passage. Il s’agit donc de partir de ce que les élèves savent pour travailler dessus. L’épistémologie suit la psychologie : de même qu’il faut partir des intérêts actuels des élèves pour les réformer, de même il faut partir des connaissances des élèves pour les rectifier. Quelle est alors la conception de la relation enseignante qui découle d’un savoir conçu de cette sorte ? Le cogito se dédouble dans les deux figures du maître et de l’élève, désormais interchangeables alternativement. On ne corrige plus l’élève, on se corrige les uns les autres. Le savoir se construit comme la perspective générale des erreurs rectifiées. Il en résulte une pédagogie relationnelle en un sens non seulement intersubjectif mais transcendantal. Le maître et l’élève sont moins des personnes physiques que des « personnages conceptuels" qui correspondent à des moments de la pensée. En ligne : https://journals.openedition.org/ree/4143 Format de la ressource électronique : Texte intégral Les philosophes ont-ils quelque chose à dire sur l’apprentissage ? Essai sur « L’intuition de l'instant » de Bachelard / Michel Fabre in Recherches en éducation, N°4 (10/2007)
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[article]
Titre : Les philosophes ont-ils quelque chose à dire sur l’apprentissage ? Essai sur « L’intuition de l'instant » de Bachelard Type de document : document électronique Auteurs : Michel Fabre, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 77-84 Langues : Français Mots-clés : apprentissage cognition philosophie de l’éducation problème problématisation temps rythmes scolaires Bachelard, Gaston (1884-1962) Résumé : Dans « L’intuition de l’instant », ce commentaire de la Siloë de Gaston Roupnel, Bachelard, aux prises avec l’obstacle épistémologique de la durée bergsonienne, nous livre ses confidences de lecteur. Lorsque la lecture nous met en présence d’un texte qui nous interpelle et met à mal nos représentations, cette situation critique enclenche un travail d’apprentissage que l’on peut qualifier de problématisation. Elle implique un travail sur le langage, une reconstruction de schèmes alternatifs, une re-conceptualisation. Chez Bachelard, la problématisation est vécue et éprouvée avant d’être théorisée. En ligne : https://journals.openedition.org/ree/3933 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Recherches en éducation > N°4 (10/2007) . - p. 77-84[article] Les philosophes ont-ils quelque chose à dire sur l’apprentissage ? Essai sur « L’intuition de l'instant » de Bachelard [document électronique] / Michel Fabre, Auteur . - 2007 . - p. 77-84.
Langues : Français
in Recherches en éducation > N°4 (10/2007) . - p. 77-84
Mots-clés : apprentissage cognition philosophie de l’éducation problème problématisation temps rythmes scolaires Bachelard, Gaston (1884-1962) Résumé : Dans « L’intuition de l’instant », ce commentaire de la Siloë de Gaston Roupnel, Bachelard, aux prises avec l’obstacle épistémologique de la durée bergsonienne, nous livre ses confidences de lecteur. Lorsque la lecture nous met en présence d’un texte qui nous interpelle et met à mal nos représentations, cette situation critique enclenche un travail d’apprentissage que l’on peut qualifier de problématisation. Elle implique un travail sur le langage, une reconstruction de schèmes alternatifs, une re-conceptualisation. Chez Bachelard, la problématisation est vécue et éprouvée avant d’être théorisée. En ligne : https://journals.openedition.org/ree/3933 Format de la ressource électronique : Texte intégral Qu’est-ce que problématiser ? Genèses d’un paradigme / Michel Fabre in Recherches en éducation, N°6 (01/2009)
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[article]
Titre : Qu’est-ce que problématiser ? Genèses d’un paradigme Type de document : document électronique Auteurs : Michel Fabre, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 22-32 Langues : Français Mots-clés : problème problématisation épistémologie Bachelard, Gaston (1884-1962) Deleuze, Gilles (1925-1995) Dewey, John (1859-1952) Meyer, Michel (1950-) Résumé : caricature ? Il semble nécessaire de remonter à la question radicale : qu’est-ce que problématiser ? On étudie ici la genèse du paradigme de la problématisation à partir de quatre philosophies du problème : John Dewey, Gaston Bachelard, Gilles Deleuze et Michel Meyer. Bien que ces philosophies se déploient à partir d’intuitions différentes et développent leurs thèses propres, elles convergent largement sur l’idée de problématisation, ce qui permet une définition rigoureuse des concepts (la problématisation, le problématique, la problématique. Ces philosophies permettent également de mettre en évidence les exigences intellectuelles d’une démarche qui semble devoir remonter la pente normale de la pensée commune et même – d’après certains de nos auteurs –de la pensée philosophique, marquée précisément par l’oubli du problème. Il n’y a pas problématisation si ne sont pas instaurés un auto-contrôle de la pensée, une dialectique entre données et conditions du problème. Ce qui nécessite de concevoir une logique de la recherche, centrée sur la construction du problème et pas seulement sur sa résolution. Il est possible d'esquisser les incidences pédagogiques des quatre problématologies étudiées quant à la relation entre savoir et problème. Leurs divergences mêmes s’avèrent pédagogiquement surdéterminées : elles renvoient aux problèmes d’une pédagogie des problèmes. En ligne : https://journals.openedition.org/ree/4093 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Recherches en éducation > N°6 (01/2009) . - p. 22-32[article] Qu’est-ce que problématiser ? Genèses d’un paradigme [document électronique] / Michel Fabre, Auteur . - 2009 . - p. 22-32.
Langues : Français
in Recherches en éducation > N°6 (01/2009) . - p. 22-32
Mots-clés : problème problématisation épistémologie Bachelard, Gaston (1884-1962) Deleuze, Gilles (1925-1995) Dewey, John (1859-1952) Meyer, Michel (1950-) Résumé : caricature ? Il semble nécessaire de remonter à la question radicale : qu’est-ce que problématiser ? On étudie ici la genèse du paradigme de la problématisation à partir de quatre philosophies du problème : John Dewey, Gaston Bachelard, Gilles Deleuze et Michel Meyer. Bien que ces philosophies se déploient à partir d’intuitions différentes et développent leurs thèses propres, elles convergent largement sur l’idée de problématisation, ce qui permet une définition rigoureuse des concepts (la problématisation, le problématique, la problématique. Ces philosophies permettent également de mettre en évidence les exigences intellectuelles d’une démarche qui semble devoir remonter la pente normale de la pensée commune et même – d’après certains de nos auteurs –de la pensée philosophique, marquée précisément par l’oubli du problème. Il n’y a pas problématisation si ne sont pas instaurés un auto-contrôle de la pensée, une dialectique entre données et conditions du problème. Ce qui nécessite de concevoir une logique de la recherche, centrée sur la construction du problème et pas seulement sur sa résolution. Il est possible d'esquisser les incidences pédagogiques des quatre problématologies étudiées quant à la relation entre savoir et problème. Leurs divergences mêmes s’avèrent pédagogiquement surdéterminées : elles renvoient aux problèmes d’une pédagogie des problèmes. En ligne : https://journals.openedition.org/ree/4093 Format de la ressource électronique : Texte intégral