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Analyse de la "vie" du savoir en classe de physique. Cas de l'énergie en 1ère S / Mouhamadoune Seck in Didaskalia (Lyon), 33 (12/2008)
[article]
Titre : Analyse de la "vie" du savoir en classe de physique. Cas de l'énergie en 1ère S Type de document : texte imprimé Auteurs : Mouhamadoune Seck, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 89-119 Langues : Français Mots-clés : échelle granularité système action conjointe temps connaissance Résumé : Proposition d'une réflexion méthodologique du traitement d'un corpus vidéo de situations de classe qui pose des problèmes spécifiques du fait du volume important d'enregistrements vidéo de classe. L'analyse de la situation de classe au cours de l'enseignement d'une séquence en physique au niveau du lycée prend l'orientation de la didactique comparatiste qui propose l'action conjointe comme fil conducteur dans l'analyse de la pratique de classe. Cette orientation conduit à entrer dans cette analyse de corpus vidéo par le savoir. Les échelles de temps et de granularité du savoir utilisées dans cette méthodologie conduisent à des strcuturations, des catégorisations qui permettent leurs articulations. Elles permettent aussi différentes vérifications de ces traitements. En ligne : https://www.persee.fr/doc/didas_1250-0739_2008_num_33_1_885 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Didaskalia (Lyon) > 33 (12/2008) . - p. 89-119[article] Analyse de la "vie" du savoir en classe de physique. Cas de l'énergie en 1ère S [texte imprimé] / Mouhamadoune Seck, Auteur . - 2008 . - p. 89-119.
Langues : Français
in Didaskalia (Lyon) > 33 (12/2008) . - p. 89-119
Mots-clés : échelle granularité système action conjointe temps connaissance Résumé : Proposition d'une réflexion méthodologique du traitement d'un corpus vidéo de situations de classe qui pose des problèmes spécifiques du fait du volume important d'enregistrements vidéo de classe. L'analyse de la situation de classe au cours de l'enseignement d'une séquence en physique au niveau du lycée prend l'orientation de la didactique comparatiste qui propose l'action conjointe comme fil conducteur dans l'analyse de la pratique de classe. Cette orientation conduit à entrer dans cette analyse de corpus vidéo par le savoir. Les échelles de temps et de granularité du savoir utilisées dans cette méthodologie conduisent à des strcuturations, des catégorisations qui permettent leurs articulations. Elles permettent aussi différentes vérifications de ces traitements. En ligne : https://www.persee.fr/doc/didas_1250-0739_2008_num_33_1_885 Format de la ressource électronique : Texte intégral Une mata-analyse des degrés de certitude exprimés en mots / Dieudonné Leclercq in e-JIREF, Vol. 2 N° 3 (12/2016)
[article]
Titre : Une mata-analyse des degrés de certitude exprimés en mots Type de document : document électronique Auteurs : Dieudonné Leclercq, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 69-105 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : degré de certitude variation interindividuelle expression verbale mata-analyse méta-analyse granularité précision fiabilité Résumé : Demander aux étudiants d’accompagner chacune de leurs réponses à un test par un degré de certitude est une pratique encore assez rare. La majorité des enseignants qui la découvrent utilisent spontanément une échelle verbale. L’hypothèse de l’auteur est que cela revient à introduire, dès le départ, une énorme erreur aléatoire de mesure car il existe de grandes variations interindividuelles dans l’interprétation (la traduction) en pourcentage des mots de l’échelle verbale, comme l’a montré Leclercq (2016) par deux expériences, l’une hors contexte et l’autre en contexte. Une grande convergence entre ces deux études apparaît quant à l’épaisseur du brouillard communicationnel introduit par des mots pour exprimer des valeurs qui pourraient / devraient l’être en pourcentage (de 0% à 100%). Les marges de variation (MV) des « traductions » de mots (tels que « peu sûr », « sûr », « très sûr », etc.) en % ont une valeur modale de 40% et les écarts-types, une valeur comprise entre 10% et 15%. L’hypothèse de l’auteur est donc confortée par ces deux expériences, mais qu’en est-il dans la littérature ? Dans une première partie du présent article, une révision de la littérature « à charge », appelée mata-analyse, accumule des données allant dans le sens de l’hypothèse. Dans une deuxième partie, sont mises en évidence les valeurs numériques les plus fréquemment utilisées par les répondants dans différentes recherches de traduction mots – pourcentages, ainsi que les valeurs qui seraient optimales non seulement en termes de préférences des répondants, mais surtout en termes de la précision (ou granularité) maximale qui reste fiable (ou « fidèle » en termes de répétabilité dans un court intervalle de temps). En ligne : http://journal.admee.org/index.php/ejiref/article/view/102/57 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in e-JIREF > Vol. 2 N° 3 (12/2016) . - p. 69-105[article] Une mata-analyse des degrés de certitude exprimés en mots [document électronique] / Dieudonné Leclercq, Auteur . - 2016 . - p. 69-105.
Bibliogr.
Langues : Français
in e-JIREF > Vol. 2 N° 3 (12/2016) . - p. 69-105
Mots-clés : degré de certitude variation interindividuelle expression verbale mata-analyse méta-analyse granularité précision fiabilité Résumé : Demander aux étudiants d’accompagner chacune de leurs réponses à un test par un degré de certitude est une pratique encore assez rare. La majorité des enseignants qui la découvrent utilisent spontanément une échelle verbale. L’hypothèse de l’auteur est que cela revient à introduire, dès le départ, une énorme erreur aléatoire de mesure car il existe de grandes variations interindividuelles dans l’interprétation (la traduction) en pourcentage des mots de l’échelle verbale, comme l’a montré Leclercq (2016) par deux expériences, l’une hors contexte et l’autre en contexte. Une grande convergence entre ces deux études apparaît quant à l’épaisseur du brouillard communicationnel introduit par des mots pour exprimer des valeurs qui pourraient / devraient l’être en pourcentage (de 0% à 100%). Les marges de variation (MV) des « traductions » de mots (tels que « peu sûr », « sûr », « très sûr », etc.) en % ont une valeur modale de 40% et les écarts-types, une valeur comprise entre 10% et 15%. L’hypothèse de l’auteur est donc confortée par ces deux expériences, mais qu’en est-il dans la littérature ? Dans une première partie du présent article, une révision de la littérature « à charge », appelée mata-analyse, accumule des données allant dans le sens de l’hypothèse. Dans une deuxième partie, sont mises en évidence les valeurs numériques les plus fréquemment utilisées par les répondants dans différentes recherches de traduction mots – pourcentages, ainsi que les valeurs qui seraient optimales non seulement en termes de préférences des répondants, mais surtout en termes de la précision (ou granularité) maximale qui reste fiable (ou « fidèle » en termes de répétabilité dans un court intervalle de temps). En ligne : http://journal.admee.org/index.php/ejiref/article/view/102/57 Format de la ressource électronique : Texte intégral