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La croyance en l’école à l’épreuve de la post-modernité : peut-on apprendre sans faire crédit au maître et à la culture enseignée ? / Michel Fabre in Recherches en éducation, N°2 (01/2007)
[article]
Titre : La croyance en l’école à l’épreuve de la post-modernité : peut-on apprendre sans faire crédit au maître et à la culture enseignée ? Type de document : document électronique Auteurs : Michel Fabre, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Jean-Marc Lamarre, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 91-101 Langues : Français Mots-clés : rapport au savoir rapport à la culture relation enseignant-apprenant interaction élève-enseignant Résumé : Aujourd’hui, l’école est minée par une sorte de défiance et de mépris des élèves à l’égard des enseignants et de la culture enseignée. Ce manque de croyance et de confiance relève de processus post-modernes de déliaison et de dissolution. Or l’école repose sur la croyance : apprendre suppose que l’élève fasse crédit au maître et aux œuvres qu’il fait étudier. L’épuisement de l’école, dans le contexte de la post-modernité, ne tiendrait-il pas à ce déficit de croyance dans les enseignants et dans la culture ? Cette communication analyse d’abord le rapport des élèves à la culture, en prenant appui sur la philosophie de la culture (en particulier La Tragédie de la culture de Simmel) ; puis le rapport des élèves aux enseignants, en prenant appui sur De la certitude de Wittgenstein. En ligne : https://journals.openedition.org/ree/3713 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Recherches en éducation > N°2 (01/2007) . - p. 91-101[article] La croyance en l’école à l’épreuve de la post-modernité : peut-on apprendre sans faire crédit au maître et à la culture enseignée ? [document électronique] / Michel Fabre, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Jean-Marc Lamarre, Auteur . - 2007 . - p. 91-101.
Langues : Français
in Recherches en éducation > N°2 (01/2007) . - p. 91-101
Mots-clés : rapport au savoir rapport à la culture relation enseignant-apprenant interaction élève-enseignant Résumé : Aujourd’hui, l’école est minée par une sorte de défiance et de mépris des élèves à l’égard des enseignants et de la culture enseignée. Ce manque de croyance et de confiance relève de processus post-modernes de déliaison et de dissolution. Or l’école repose sur la croyance : apprendre suppose que l’élève fasse crédit au maître et aux œuvres qu’il fait étudier. L’épuisement de l’école, dans le contexte de la post-modernité, ne tiendrait-il pas à ce déficit de croyance dans les enseignants et dans la culture ? Cette communication analyse d’abord le rapport des élèves à la culture, en prenant appui sur la philosophie de la culture (en particulier La Tragédie de la culture de Simmel) ; puis le rapport des élèves aux enseignants, en prenant appui sur De la certitude de Wittgenstein. En ligne : https://journals.openedition.org/ree/3713 Format de la ressource électronique : Texte intégral
[article]
Titre : « L’enfant philosophe ? » Type de document : document électronique Auteurs : Michel Tozzi, Auteur ; Edwige Chirouter, Auteur ; Jean-Marc Lamarre, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 26-31 Langues : Français Mots-clés : enseignement de la philosophie enseignement primaire enseignement élémentaire pensée réfléchie Résumé : Les discussions entre élèves, à l'école primaire, peuvent-elles être considérées comme philosophiques ? L'enfant peut-il accéder à la philosophie ? Selon l'auteur, les discussions dites «à visée philosophique» préparent à la philosophie, mais ne sont pas à proprement parler philosophiques ; elles contribuent, en liaison avec les débats interprétatifs et les débats de vie de classe, à la formation de la personne et du citoyen par l'exercice de la pensée réfléchie. Les enfants pensent, mais on ne peut pas appeler «philosophie» tout éveil à la pensée réfléchie. L'auteur lève la confusion, souvent faite, entre pensée et philosophie en montrant qu'il y a de la pensée (au sens fort de pensée capable de vérité) dans les sciences, les arts, la littérature, la politique. La philosophie se caractérisant par une visée de totalisation, de systématicité et de radicalité, l'enfant n'a ni les concepts ni la culture ni l'expérience humaine lui permettant d'entrer dans la philosophie. C'est avec l'adolescence qu'un seuil est franchi qui rend possible l'apprentissage de la philosophie. Quel travail de la pensée est à l'œuvre dans les discussions à l'école primaire ? L'auteur considère que ces discussions sont des dispositifs d'apprentissage de la réflexion selon les trois maximes kantiennes du sens commun : penser par soi-même (dépasser les opinions immédiates), penser en se mettant à la place d'autrui (élargir son point de vue), penser en accord avec soi-même (raisonner de façon conséquente). Ces discussions doivent se situer dans le cadre constructif de l'éducation morale et civique.
En ligne : https://journals.openedition.org/ree/5218 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Recherches en éducation > N°13 (01/2012) . - p. 26-31[article] « L’enfant philosophe ? » [document électronique] / Michel Tozzi, Auteur ; Edwige Chirouter, Auteur ; Jean-Marc Lamarre, Auteur . - 2012 . - p. 26-31.
Langues : Français
in Recherches en éducation > N°13 (01/2012) . - p. 26-31
Mots-clés : enseignement de la philosophie enseignement primaire enseignement élémentaire pensée réfléchie Résumé : Les discussions entre élèves, à l'école primaire, peuvent-elles être considérées comme philosophiques ? L'enfant peut-il accéder à la philosophie ? Selon l'auteur, les discussions dites «à visée philosophique» préparent à la philosophie, mais ne sont pas à proprement parler philosophiques ; elles contribuent, en liaison avec les débats interprétatifs et les débats de vie de classe, à la formation de la personne et du citoyen par l'exercice de la pensée réfléchie. Les enfants pensent, mais on ne peut pas appeler «philosophie» tout éveil à la pensée réfléchie. L'auteur lève la confusion, souvent faite, entre pensée et philosophie en montrant qu'il y a de la pensée (au sens fort de pensée capable de vérité) dans les sciences, les arts, la littérature, la politique. La philosophie se caractérisant par une visée de totalisation, de systématicité et de radicalité, l'enfant n'a ni les concepts ni la culture ni l'expérience humaine lui permettant d'entrer dans la philosophie. C'est avec l'adolescence qu'un seuil est franchi qui rend possible l'apprentissage de la philosophie. Quel travail de la pensée est à l'œuvre dans les discussions à l'école primaire ? L'auteur considère que ces discussions sont des dispositifs d'apprentissage de la réflexion selon les trois maximes kantiennes du sens commun : penser par soi-même (dépasser les opinions immédiates), penser en se mettant à la place d'autrui (élargir son point de vue), penser en accord avec soi-même (raisonner de façon conséquente). Ces discussions doivent se situer dans le cadre constructif de l'éducation morale et civique.
En ligne : https://journals.openedition.org/ree/5218 Format de la ressource électronique : Texte intégral Un entre-deux entre laïcité et religions pour penser la spiritualité en éducation / Muriel Briançon in Éducation et socialisation, N° 56 (06/2020)
[article]
Titre : Un entre-deux entre laïcité et religions pour penser la spiritualité en éducation Type de document : document électronique Auteurs : Muriel Briançon, Auteur ; Florent Pasquier, Auteur ; Jean-Marc Lamarre, Auteur ; Hagège, Hélène, Auteur Année de publication : 2020 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : éducation spiritualité laïcité religion philosophie Résumé : Cet effort collaboratif et exploratoire a pour intention de donner une vue d’ensemble de la spiritualité en éducation et formation en posant les termes d’un débat : dans quelle mesure la spiritualité peut-elle et/ou doit-elle faire partie des références pour une éducation laïque ? En effet, la spiritualité, victime collatérale du principe de laïcité, s’est vue - en même temps que les religions - rejetée de l’École publique. Or, cette notion controversée est encore très insuffisamment conceptualisée en éducation. Nous montrerons que la spiritualité, étroitement délimitée par ses frontières laïque et religieuse, peut se concevoir justement comme une marge, un entre-deux, que différents modèles théoriques (philosophiques, psychologiques, transdisciplinaires ou comparatifs) cherchent à appréhender désormais directement en éducation et formation. En ligne : https://journals.openedition.org/edso/11988 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Éducation et socialisation > N° 56 (06/2020)[article] Un entre-deux entre laïcité et religions pour penser la spiritualité en éducation [document électronique] / Muriel Briançon, Auteur ; Florent Pasquier, Auteur ; Jean-Marc Lamarre, Auteur ; Hagège, Hélène, Auteur . - 2020.
Bibliogr.
Langues : Français
in Éducation et socialisation > N° 56 (06/2020)
Mots-clés : éducation spiritualité laïcité religion philosophie Résumé : Cet effort collaboratif et exploratoire a pour intention de donner une vue d’ensemble de la spiritualité en éducation et formation en posant les termes d’un débat : dans quelle mesure la spiritualité peut-elle et/ou doit-elle faire partie des références pour une éducation laïque ? En effet, la spiritualité, victime collatérale du principe de laïcité, s’est vue - en même temps que les religions - rejetée de l’École publique. Or, cette notion controversée est encore très insuffisamment conceptualisée en éducation. Nous montrerons que la spiritualité, étroitement délimitée par ses frontières laïque et religieuse, peut se concevoir justement comme une marge, un entre-deux, que différents modèles théoriques (philosophiques, psychologiques, transdisciplinaires ou comparatifs) cherchent à appréhender désormais directement en éducation et formation. En ligne : https://journals.openedition.org/edso/11988 Format de la ressource électronique : Texte intégral Frontières de l’école, frontières dans l’école : enjeux politiques, défis éthiques / Bérengère Kolly in Recherches en éducation, N°36 (03/2019)
[article]
Titre : Frontières de l’école, frontières dans l’école : enjeux politiques, défis éthiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Bérengère Kolly, Auteur ; Alain Kerlan, Auteur ; Philippe Foray, Auteur ; Pachod, André, Auteur ; Christine Focquenoy-Simonnet, Auteur ; Eric Dubreucq, Auteur ; Samia Langar, Auteur ; Jean-Marc Lamarre, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français Mots-clés : philosophie de l’éducation religion éducation histoire de l’éducation TIC (technologies de l’information et de la communication) autonomie socialisation espace scolaire profession éducative représentation sociale interculturalité multiculturalisme rythmes scolaires Résumé : La question des frontières est une question d’actualité : dans un monde toujours plus ouvert, semble en effet réapparaître une demande de frontières, politiques, nationales ou culturelles. En éducation, et à l’école, la question des frontières est également vive : l’école doit-elle être ouverte sur le monde et ses enjeux, ou un lieu clos et protégé ? Comment l’éducation, par essence « sans frontières », peut-elle ou doit-elle s’ancrer en un lieu, une histoire et un temps pour y répondre spécifiquement ? Ces questions classiques sont ici abordées de manière plurielle : protection de la spécificité de l’école comme lieu intermédiaire, protection de l’enfance et de la construction du sujet, relations entre cultures ; il s’agit dans ce dossier, issu d’un colloque de la Sofphied (Société francophone de philosophie de l’éducation) de saisir les questions politiques et éthiques posées par l’idée de frontière(s) en éducation, les frontières étant comprises non comme des barrières, mais comme des seuils et des lieux de passages. Note de contenu : - Où sommes-nous lorsque nous sommes à l’école ?
- De l’école sanctuaire à l’école sans murs
- Du surveillant général cerné par les murs au conseiller principal d’éducation, passeur de frontières
- Pouvoir éducatif et frontières du moi
- L’Islam dans l’école : une frontière invisible ?
- L’éducation interculturelle : une éducation aux frontières
- Abolir les frontières dans la classe ?En ligne : https://journals.openedition.org/ree/886 Format de la ressource électronique : Numéro intégral
in Recherches en éducation > N°36 (03/2019)[article] Frontières de l’école, frontières dans l’école : enjeux politiques, défis éthiques [texte imprimé] / Bérengère Kolly, Auteur ; Alain Kerlan, Auteur ; Philippe Foray, Auteur ; Pachod, André, Auteur ; Christine Focquenoy-Simonnet, Auteur ; Eric Dubreucq, Auteur ; Samia Langar, Auteur ; Jean-Marc Lamarre, Auteur . - 2019.
Langues : Français
in Recherches en éducation > N°36 (03/2019)
Mots-clés : philosophie de l’éducation religion éducation histoire de l’éducation TIC (technologies de l’information et de la communication) autonomie socialisation espace scolaire profession éducative représentation sociale interculturalité multiculturalisme rythmes scolaires Résumé : La question des frontières est une question d’actualité : dans un monde toujours plus ouvert, semble en effet réapparaître une demande de frontières, politiques, nationales ou culturelles. En éducation, et à l’école, la question des frontières est également vive : l’école doit-elle être ouverte sur le monde et ses enjeux, ou un lieu clos et protégé ? Comment l’éducation, par essence « sans frontières », peut-elle ou doit-elle s’ancrer en un lieu, une histoire et un temps pour y répondre spécifiquement ? Ces questions classiques sont ici abordées de manière plurielle : protection de la spécificité de l’école comme lieu intermédiaire, protection de l’enfance et de la construction du sujet, relations entre cultures ; il s’agit dans ce dossier, issu d’un colloque de la Sofphied (Société francophone de philosophie de l’éducation) de saisir les questions politiques et éthiques posées par l’idée de frontière(s) en éducation, les frontières étant comprises non comme des barrières, mais comme des seuils et des lieux de passages. Note de contenu : - Où sommes-nous lorsque nous sommes à l’école ?
- De l’école sanctuaire à l’école sans murs
- Du surveillant général cerné par les murs au conseiller principal d’éducation, passeur de frontières
- Pouvoir éducatif et frontières du moi
- L’Islam dans l’école : une frontière invisible ?
- L’éducation interculturelle : une éducation aux frontières
- Abolir les frontières dans la classe ?En ligne : https://journals.openedition.org/ree/886 Format de la ressource électronique : Numéro intégral Jean Jaurès : neutralité, religion, socialisme et école laïque / Jean-Marc Lamarre in Éducation et socialisation, N° 64 (06/2022)
[article]
Titre : Jean Jaurès : neutralité, religion, socialisme et école laïque Type de document : document électronique Auteurs : Jean-Marc Lamarre, Auteur Année de publication : 2022 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : république socialisme laïcité objectivité enthousiasme Résumé : Dans ses textes sur la neutralité scolaire, Jaurès montre que la neutralité est un mensonge et que l’Église et les républicains conservateurs cherchent par là à neutraliser le caractère émancipateur de l’enseignement public : "il n’y a que le néant qui soit neutre". Jaurès défend une laïcité républicaine et socialiste. La laïcité, c’est l’émancipation et le socialisme est l’aboutissement du processus émancipateur commencé avec la Révolution française. Mais comment le maître peut-il à la fois s’engager pour le socialisme et respecter le principe laïque de la liberté de conscience de l’élève ? "On n’enseigne et on ne peut enseigner que ce que l’on est", dit Jaurès. Le socialisme n’est pas une doctrine que le maître enseigne, mais le principe de vie qui anime son enseignement. Jaurès préconise une méthode pédagogique faite à la fois d’objectivité et d’enthousiasme, de largeur et de hauteur. Le maître s’efface derrière les faits et s’engage en s’enthousiasmant pour les progrès de l’humanité. Il élargit son enseignement à tous les grands problèmes et élève l’âme de l’enfant à la reconnaissance de l’infini qu’elle porte en elle. En ligne : https://journals.openedition.org/edso/18959 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Éducation et socialisation > N° 64 (06/2022)[article] Jean Jaurès : neutralité, religion, socialisme et école laïque [document électronique] / Jean-Marc Lamarre, Auteur . - 2022.
Bibliogr.
Langues : Français
in Éducation et socialisation > N° 64 (06/2022)
Mots-clés : république socialisme laïcité objectivité enthousiasme Résumé : Dans ses textes sur la neutralité scolaire, Jaurès montre que la neutralité est un mensonge et que l’Église et les républicains conservateurs cherchent par là à neutraliser le caractère émancipateur de l’enseignement public : "il n’y a que le néant qui soit neutre". Jaurès défend une laïcité républicaine et socialiste. La laïcité, c’est l’émancipation et le socialisme est l’aboutissement du processus émancipateur commencé avec la Révolution française. Mais comment le maître peut-il à la fois s’engager pour le socialisme et respecter le principe laïque de la liberté de conscience de l’élève ? "On n’enseigne et on ne peut enseigner que ce que l’on est", dit Jaurès. Le socialisme n’est pas une doctrine que le maître enseigne, mais le principe de vie qui anime son enseignement. Jaurès préconise une méthode pédagogique faite à la fois d’objectivité et d’enthousiasme, de largeur et de hauteur. Le maître s’efface derrière les faits et s’engage en s’enthousiasmant pour les progrès de l’humanité. Il élargit son enseignement à tous les grands problèmes et élève l’âme de l’enfant à la reconnaissance de l’infini qu’elle porte en elle. En ligne : https://journals.openedition.org/edso/18959 Format de la ressource électronique : Texte intégral La spiritualité à l’école laïque : donner forme au sentiment de l’infini / Jean-Marc Lamarre in Éducation et socialisation, N° 56 (06/2020)
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